Faut-il appeler l’occupation d’une partie du tracé du Grand contournement de Strasbourg (GCO) une « Zone à défendre » (Zad) ? Ce terme assez récent renvoie à des installations durables et à durée illimitée en opposition à un projet. C’est aussi une ultime manière de se faire entendre pour des militants qui estiment que le débat démocratique n’est pas toujours possible.
Les très technocratiques enquêtes publiques, par exemple, remontent à plusieurs années et ne tiennent pas compte du nombre de contributions. Dans le cas du GCO, elle s’est déroulée en . . .
>
Cet article fait partie de l’édition abonnés. Pour lire la suite, profitez d’une offre découverte à 1€.
Contribuez à consolider un média indépendant à Strasbourg, en capacité d’enquêter sur les enjeux locaux.
- Paiement sécurisé
- Sans engagement
Chargement des commentaires…