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BS
Bernard Sibieude
Abo
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Occultisme, pseudo-sciences, principes pédagogiques reposant sur des illuminations « philosophiques », une Miviludes s’inquiétant de « risques » sectaires, tout en étant incapable, comme souvent, d’appeler un chat un chat, c’est-à dire une secte, une secte, et voilà de jeunes esprits malléables en danger. « L’occultisme se réfère à des disciplines associées à des notions surnaturelles, secrètes, considéré par la science rationaliste et matérialiste comme construit à partir d’un biais de raisonnement et ainsi qualifiées de pseudo-sciences » (Wikipedia).
Les parents qui, par idéalisme ésotérique, confie l’éducation de leurs chères têtes blondes à des « magicien.nes de la pédagogie » prennent de grands risques. Avec des dérives physiques, voire psychologiques. Mais trop souvent, comme le souligne le procureur Richert : « Nous avons identifié des infractions pénales dans les témoignages, mais nous n’avons pas pu les caractériser. »
Certes, le système scolaire de l’enseignement public, voire privé sous contrat, présente des lacunes. Certes encore, des enseignants, contractuels ou pas, peuvent faillir. Mais l’Éducation nationale, même affaiblie et mise à mal par les gouvernements de la Vème République, est, pour les jeunes en formation, encore un garde-fou dont il serait fou de vouloir se passer.
vive la société française pluriculturelle , à chaque communauté culturelle(si cela a un sens!)à chaque catégorie sociale (si cela a un sens) une liste élective!
ce n’est pas comme cela que l’on construit le vivre ensemble d’une métropole. On préfère se regarder en chien de fusil plutôt qu’intégrer un collectif en construction mettant son et ses expériences pour porter qqchose de solide , d’intérêt collectif en écoutant celles et ceux qui se sentent oubliés, et de réfléchir à leur financement en même temps que l’on lance de belles idées!
Écoles privées sous contrat (essentiellement l’enseignement confessionnel). Écoles privées hors contrat, (« business » s’exerçant dans le secteur de l’éducation) où l’État est censé déployer néanmoins un minimum de contrôle (loi du 24 août 2021).
Tout ça, c’est la faute à Michel Débré (loi éponyme du 31 décembre 1959) et au général de Gaulle qui ont réhabilité « l’école privée » en lui proposant de signer un contrat avec la République. En échange de quoi les établissements privés, sous contrat, bénéficient de subventions, essentiellement versées par l’État, mais par les collectivités territoriales également (plus de 12 milliards en 2020) dont surtout la prise en charge du salaire de ses enseignants.
Toutes les religions sont habilitées à créer des établissements scolaires sous contrat. Comme Bétharram, si chère à notre grand menteur, Bayrou, par exemple.
Aujourd’hui, la destruction avancée et ordonnée du service public, en particulier celui de l’Éducation nationale, ne permet plus à ses fonctionnaires d’assurer les contrôles dont l’actualité des tristes faits divers, souligne l’importance.
Occultisme, pseudo-sciences, principes pédagogiques reposant sur des illuminations « philosophiques », une Miviludes s’inquiétant de « risques » sectaires, tout en étant incapable, comme souvent, d’appeler un chat un chat, c’est-à dire une secte, une secte, et voilà de jeunes esprits malléables en danger. « L’occultisme se réfère à des disciplines associées à des notions surnaturelles, secrètes, considéré par la science rationaliste et matérialiste comme construit à partir d’un biais de raisonnement et ainsi qualifiées de pseudo-sciences » (Wikipedia).
Les parents qui, par idéalisme ésotérique, confie l’éducation de leurs chères têtes blondes à des « magicien.nes de la pédagogie » prennent de grands risques. Avec des dérives physiques, voire psychologiques. Mais trop souvent, comme le souligne le procureur Richert : « Nous avons identifié des infractions pénales dans les témoignages, mais nous n’avons pas pu les caractériser. »
Certes, le système scolaire de l’enseignement public, voire privé sous contrat, présente des lacunes. Certes encore, des enseignants, contractuels ou pas, peuvent faillir. Mais l’Éducation nationale, même affaiblie et mise à mal par les gouvernements de la Vème République, est, pour les jeunes en formation, encore un garde-fou dont il serait fou de vouloir se passer.
Za
vive la société française pluriculturelle , à chaque communauté culturelle(si cela a un sens!)à chaque catégorie sociale (si cela a un sens) une liste élective!
ce n’est pas comme cela que l’on construit le vivre ensemble d’une métropole. On préfère se regarder en chien de fusil plutôt qu’intégrer un collectif en construction mettant son et ses expériences pour porter qqchose de solide , d’intérêt collectif en écoutant celles et ceux qui se sentent oubliés, et de réfléchir à leur financement en même temps que l’on lance de belles idées!
BS
Bernard Sibieude
Abo
Écoles privées sous contrat (essentiellement l’enseignement confessionnel). Écoles privées hors contrat, (« business » s’exerçant dans le secteur de l’éducation) où l’État est censé déployer néanmoins un minimum de contrôle (loi du 24 août 2021).
Tout ça, c’est la faute à Michel Débré (loi éponyme du 31 décembre 1959) et au général de Gaulle qui ont réhabilité « l’école privée » en lui proposant de signer un contrat avec la République. En échange de quoi les établissements privés, sous contrat, bénéficient de subventions, essentiellement versées par l’État, mais par les collectivités territoriales également (plus de 12 milliards en 2020) dont surtout la prise en charge du salaire de ses enseignants.
Toutes les religions sont habilitées à créer des établissements scolaires sous contrat. Comme Bétharram, si chère à notre grand menteur, Bayrou, par exemple.
Aujourd’hui, la destruction avancée et ordonnée du service public, en particulier celui de l’Éducation nationale, ne permet plus à ses fonctionnaires d’assurer les contrôles dont l’actualité des tristes faits divers, souligne l’importance.
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Occultisme, pseudo-sciences, principes pédagogiques reposant sur des illuminations « philosophiques », une Miviludes s’inquiétant de « risques » sectaires, tout en étant incapable, comme souvent, d’appeler un chat un chat, c’est-à dire une secte, une secte, et voilà de jeunes esprits malléables en danger. « L’occultisme se réfère à des disciplines associées à des notions surnaturelles, secrètes, considéré par la science rationaliste et matérialiste comme construit à partir d’un biais de raisonnement et ainsi qualifiées de pseudo-sciences » (Wikipedia).
Voir plusLes parents qui, par idéalisme ésotérique, confie l’éducation de leurs chères têtes blondes à des « magicien.nes de la pédagogie » prennent de grands risques. Avec des dérives physiques, voire psychologiques. Mais trop souvent, comme le souligne le procureur Richert : « Nous avons identifié des infractions pénales dans les témoignages, mais nous n’avons pas pu les caractériser. »
Certes, le système scolaire de l’enseignement public, voire privé sous contrat, présente des lacunes. Certes encore, des enseignants, contractuels ou pas, peuvent faillir. Mais l’Éducation nationale, même affaiblie et mise à mal par les gouvernements de la Vème République, est, pour les jeunes en formation, encore un garde-fou dont il serait fou de vouloir se passer.
vive la société française pluriculturelle , à chaque communauté culturelle(si cela a un sens!)à chaque catégorie sociale (si cela a un sens) une liste élective!
Voir plusce n’est pas comme cela que l’on construit le vivre ensemble d’une métropole. On préfère se regarder en chien de fusil plutôt qu’intégrer un collectif en construction mettant son et ses expériences pour porter qqchose de solide , d’intérêt collectif en écoutant celles et ceux qui se sentent oubliés, et de réfléchir à leur financement en même temps que l’on lance de belles idées!
Écoles privées sous contrat (essentiellement l’enseignement confessionnel). Écoles privées hors contrat, (« business » s’exerçant dans le secteur de l’éducation) où l’État est censé déployer néanmoins un minimum de contrôle (loi du 24 août 2021).
Voir plusTout ça, c’est la faute à Michel Débré (loi éponyme du 31 décembre 1959) et au général de Gaulle qui ont réhabilité « l’école privée » en lui proposant de signer un contrat avec la République. En échange de quoi les établissements privés, sous contrat, bénéficient de subventions, essentiellement versées par l’État, mais par les collectivités territoriales également (plus de 12 milliards en 2020) dont surtout la prise en charge du salaire de ses enseignants.
Toutes les religions sont habilitées à créer des établissements scolaires sous contrat. Comme Bétharram, si chère à notre grand menteur, Bayrou, par exemple.
Aujourd’hui, la destruction avancée et ordonnée du service public, en particulier celui de l’Éducation nationale, ne permet plus à ses fonctionnaires d’assurer les contrôles dont l’actualité des tristes faits divers, souligne l’importance.
Occultisme, pseudo-sciences, principes pédagogiques reposant sur des illuminations « philosophiques », une Miviludes s’inquiétant de « risques » sectaires, tout en étant incapable, comme souvent, d’appeler un chat un chat, c’est-à dire une secte, une secte, et voilà de jeunes esprits malléables en danger. « L’occultisme se réfère à des disciplines associées à des notions surnaturelles, secrètes, considéré par la science rationaliste et matérialiste comme construit à partir d’un biais de raisonnement et ainsi qualifiées de pseudo-sciences » (Wikipedia).
Les parents qui, par idéalisme ésotérique, confie l’éducation de leurs chères têtes blondes à des « magicien.nes de la pédagogie » prennent de grands risques. Avec des dérives physiques, voire psychologiques. Mais trop souvent, comme le souligne le procureur Richert : « Nous avons identifié des infractions pénales dans les témoignages, mais nous n’avons pas pu les caractériser. »
Certes, le système scolaire de l’enseignement public, voire privé sous contrat, présente des lacunes. Certes encore, des enseignants, contractuels ou pas, peuvent faillir. Mais l’Éducation nationale, même affaiblie et mise à mal par les gouvernements de la Vème République, est, pour les jeunes en formation, encore un garde-fou dont il serait fou de vouloir se passer.
vive la société française pluriculturelle , à chaque communauté culturelle(si cela a un sens!)à chaque catégorie sociale (si cela a un sens) une liste élective!
ce n’est pas comme cela que l’on construit le vivre ensemble d’une métropole. On préfère se regarder en chien de fusil plutôt qu’intégrer un collectif en construction mettant son et ses expériences pour porter qqchose de solide , d’intérêt collectif en écoutant celles et ceux qui se sentent oubliés, et de réfléchir à leur financement en même temps que l’on lance de belles idées!
Écoles privées sous contrat (essentiellement l’enseignement confessionnel). Écoles privées hors contrat, (« business » s’exerçant dans le secteur de l’éducation) où l’État est censé déployer néanmoins un minimum de contrôle (loi du 24 août 2021).
Tout ça, c’est la faute à Michel Débré (loi éponyme du 31 décembre 1959) et au général de Gaulle qui ont réhabilité « l’école privée » en lui proposant de signer un contrat avec la République. En échange de quoi les établissements privés, sous contrat, bénéficient de subventions, essentiellement versées par l’État, mais par les collectivités territoriales également (plus de 12 milliards en 2020) dont surtout la prise en charge du salaire de ses enseignants.
Toutes les religions sont habilitées à créer des établissements scolaires sous contrat. Comme Bétharram, si chère à notre grand menteur, Bayrou, par exemple.
Aujourd’hui, la destruction avancée et ordonnée du service public, en particulier celui de l’Éducation nationale, ne permet plus à ses fonctionnaires d’assurer les contrôles dont l’actualité des tristes faits divers, souligne l’importance.