L’affaire éclate en juin 2022. Une doctorante membre de l’unité Inserm U1113 – Irfac spécialisée en cancérologie, accuse son directeur de recherches de violences sexistes et sexuelles. Les deux tutelles de ce laboratoire, l’Inserm et l’Université de Strasbourg (Unistra), ont lancé en septembre 2022 une procédure spécifique pour enquêter sur les faits. Ses conclusions se répercutent directement sur l’avenir de l’unité, qui fermera à la fin de l’année 2023.
Un directeur de recherches accusé de violences sexistes et sexuelles
La jeune femme a été entendue par des membres de l’Université de Strasbourg, via le dispositif de lutte contre les violences sexistes, sexuelles ou homophobes (VSSH). « L’Unistra a réagi très rapidement », se félicite-t-on au sein de l’école doctorale des Sciences de la vie et de la santé, responsable des doctorants de l’unité :
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous


Chargement des commentaires…