« En 2024, nous avons dû cesser d’admettre des personnes en demande de soins, faute de moyens… » La directrice de l’association Alt, Mélinda Huber, a alerté encore une fois jeudi 28 novembre, dans la salle du conseil municipal strasbourgeois, remplie pour le trentième anniversaire de l’association Ithaque. Alt, Ithaque, les Hôpitaux universitaires de Strasbourg… toutes les structures gestionnaires de centres de soins, d’accompagnement et de prévention des addictions (Csapa) voient la file d’attente de personnes demandant de l’aide s’allonger à Strasbourg. « Nos équipes sont à saturation, ce qui est vraiment dommageable pour les personnes qui font la démarche de nous demander de l’aide », a poursuivi Mélinda Huber.
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