Des photos de jambes piquées par des punaises de lit. Des descriptions de portes qui ne ferment pas à clé. Des récits d’intrusions nocturnes dans les chambres pourtant dédiées aux femmes violentées et à leurs enfants. Publié le 21 janvier, le rapport de l’association Solidarité femmes 67 dénonce plusieurs défaillances dans l’accueil des femmes victimes de violences dans le Bas-Rhin. Et avec elles, une première conséquence : ces femmes rentrent auprès de leur agresseur, faute de prise en charge adaptée.
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