Ce vendredi après-midi de juin, Naïma (prénom modifié) est de passage au Centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) Flora Tristan pour payer son loyer. Un sourire illumine son visage lorsqu’elle salue les travailleuses sociales de permanence ce jour-là. « C’est grâce à cette association que je trouve la force de me lever le matin », explique-t-elle avant de raconter son histoire.
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