Devant l’école élémentaire de la Ziegelau mardi 20 juin, une vingtaine de parents d’élèves s’apprêtent à installer matelas et oreillers dans une salle de classe. Depuis quatre mois, une élève de CE1 est à la rue.
Face aux caméras et aux journaliste, Santi, 37 ans, détaille son parcours migratoire et ses difficultés pour mettre à l’abri sa famille. Arrivée d’Albanie il y a six ans, elle ne peut pas y retourner. Déboutée du droit d’asile, la mère de deux enfants a choisi de rester en France : elle parle un français parfait et ses enfants sont intégrés à l’école. Seul problème : sans papiers en règle, personne ne peut l’aider à trouver un logement et elle n’a pas le droit de travailler.
Une situation de plus en plus fréquente
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