Au tribunal administratif de Strasbourg, jeudi 11 avril, une audience rend nerveux Giorgi et sa famille. Réunis en cercle, silencieux, ils écoutent leur conseil Me Anne Gangloff expliquer le déroulé de la procédure. « Il se peut que le tribunal ait des questions. Il se peut qu’il n’en ait pas. Ça ne veut rien dire », tente-t-elle, rassurante.
Ce jour-là et le lendemain, la famille est entendue par le juge administratif sur leur demande d’annuler les obligations de quitter le territoire français (OQTF), délivrées par la préfecture du Bas-Rhin à leur encontre, en février.

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