

Les commerçants de la Grand’rue se plaignent régulièrement de la présence de squatteurs devant leurs vitrines (photo CG/ Rue89 Strasbourg / cc)
La Ville réfléchit avec la police municipale et la Chambre de commerce et d’industrie à mettre en place un numéro d’appel, dédié aux commerçants qui rencontrent des problèmes face à des personnes sans domicile ou s’installant devant leurs vitrines. Mais à ce jour, aucune solution à cette difficile cohabitation n’a été trouvée.
Le projet avait filtré de la bouche de Jean-Luc Heimburger, président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Alsace, lors de l’assemblée générale de l’association des commerçants, les Vitrines de Strasbourg, début novembre. Devant un parterre de commerçants, il annonçait alors un projet de « téléphone rouge » pour lutter contre « la problématique de la mendicité ».
À sa suite, Gwenn Bauer, président des Vitrines de Strasbourg, dénonçait dans son discours la « mendicité agressive » dans les rues et le « problème de sécurité et d’image » qu’elle posait. Le marchand de thés et chocolats se félicitait de la piste ouverte avec la Ville « d’un numéro dédié anti-sdf pour lutter contre les attroupements ».
À la CCI, on explique depuis que le projet n’est pas encore assez avancé pour communiquer et qu’il implique la police municipale. De son côté, la Ville confirme qu’un projet de numéro dédié est à l’étude mais que la réflexion est toujours en cours.
« Mieux cerner les problèmes »
Pour la Ville, l’objectif d’un tel dispositif est d’abord de recenser les difficultés des commerçants :
« Nous avons des remontées plus que régulières sur des problèmes rencontrés par les commerçants et liés à la présence de SDF à proximité, voire devant, leurs commerces. Disposer d’un numéro d’appel spécifique permettrait d’objectiver les informations, de mieux cerner les problèmes liés à chaque situation spécifiquement et bien entendu de les résoudre plus efficacement. Il s’agirait d’un dispositif pérenne et non lié à certains événements. »
Pour Gwenn Bauer, le projet doit cibler les attroupements agressifs :
« Qu’on s’entende : nous n’avons rien contre les personnes qui font la manche à la sortie des églises. Mais on voit en ville des attroupements réguliers, constants, qui donnent un côté sale à la ville composés de personnes qui, sous l’emprise de l’alcool, agressent les passants. »
Pour lui, il faudrait « aller plus loin » qu’une ligne téléphonique et que la Ville prenne « enfin un arrêté municipal anti-mendicité ».
Dans les campagnes, une ligne directe avec les gendarmes
La CCI n’en est pas à son coup d’essai en matière de prévention pour les commerçants. À l’automne 2014, elle a mis en place en partenariat avec la gendarmerie du Bas-Rhin une ligne « Alerte commerçants » à l’échelle du département. Le dispositif ne concerne pas Strasbourg, situé en zone police, et il est très différent de celui à l’étude pour la ville. Thierry Keller, président de l’association des commerçants de Saverne, explique :
« La gendarmerie a établi la liste des numéros de portables et des adresses des commerçants volontaires pour les prévenir par SMS des incidents type vols ou cambriolages. Le dispositif a surtout été utilisé pour des cambriolages de nuit, mais aussi dans de plus rares cas de vols en plein jour. Il n’a rien à voir avec la mendicité. »

Sous les grandes arcades près de la place Kléber, il est parfois impossible de passer, ce qui fait grogner les commerçants (Photo CG/ Rue89 Strasbourg/ cc)
« Le commerce, c’est le commerce »
À Strasbourg, ce ne sont pas les vols qui inquiètent le plus les commerçants que nous avons rencontrés. Ceux de la Grand’rue connaissent bien la difficulté de cohabiter avec les personnes en situation de mendicité agressive. Gabrielle est dans le métier depuis trente ans et tient aujourd’hui une boutique de vêtements de sport au milieu de la rue piétonne, non loin du carrefour avec la rue du Fossé-des-Tanneurs :
« En hiver, on les voit moins parce qu’il fait froid. Mais l’été, c’est vrai que c’est pénible. Ils s’installent à la terrasse du restaurant d’à côté, ils gueulent, ils accostent les gens. Cela ne donne pas une bonne image de la rue. L’été dernier, un SDF s’est installé devant la porte. Pas moyen de le déloger, il a fini par s’endormir. J’ai appelé la police, qui a eu du mal à le faire partir. Pour les clients qui entrent, ça ne va pas. Je n’ai rien contre eux, mais le commerce, c’est le commerce. »
Gabrielle assure qu’elle utiliserait le numéro dédié, même si d’après elle, les agents de police municipaux en vélo sont déjà très efficaces. La commerçante a leur numéro pour les joindre n’importe quand.
Les limites de l’action policière
Sabine tient une boutique de chapeaux plus haut dans la Grand’rue, tout près de la supérette dont les abords sont squattés régulièrement :
« C’est souvent très lourd. Le matin, ils sont encore à jeun et corrects. Mais une fois alcoolisés, les relations deviennent difficiles. C’est sonore. Ils braillent, les chiens aboient. Dans ma petite boutique, j’ai besoin de sérénité pour travailler, et je ne l’ai pas quand ils sont éméchés. Une partie de mes clients a peur. Cela m’arrive d’appeler la police municipale pour qu’ils fassent une ronde pour calmer les choses. »
Mais Sabine constate que la police a peu de moyen d’action :
« Ils ne font rien. Ils les dispersent cinq minutes puis ils reviennent. Je n’ai pas de remède miracle. »
Éric a dû s’habituer aux coups de sang des SDF. Sa boutique d’articles orientaux est juste en face de la supérette de la Grand’rue :
« Il y a sûrement des gens qui ne sont pas venus jusqu’à mon magasin à cause de leur présence. Mais je ne veux pas me focaliser sur les conséquences commerciales. Ce que je retiens, c’est surtout la difficulté de dialoguer avec eux et le risque de violence. Ça peut aller de quelqu’un qui urine à d’autres qui passent leur colère en brisant une vitrine comme c’est arrivé à ma voisine restauratrice il y a quelques temps. Moi je les vois tout le temps. Ce qui est parfaitement supportable pour quelqu’un de passage pendant trente secondes devient plus difficile quand vous le subissez tous les jours pendant des heures. »
Impliquer des acteurs sociaux
Éric confie n’avoir lui-même appelé au calme qu’une seule fois, par peur de ses propres réactions de violence. Il a aussi appelé la police pour des bagarres, mais n’ose pas trop la solliciter non plus. Pour lui, la réponse devrait être politique :
« Il faudrait un arrêté qui interdise les attroupements. Si les gens ont le droit de squatter par terre, que peut-on faire à part les déplacer ? Et puis, il devrait aussi y avoir une réponse en termes d’insertion. »
Si numéro dédié il y a, il espère qu’il impliquera aussi des acteurs sociaux :
« J’utiliserais plus facilement un numéro dédié plutôt que d’appeler la police. J’imagine qu’un tel dispositif permettrait de contacter des gens qui auraient une vraie connaissance du terrain, qui seraient capables de faire le tri entre les difficultés, de distinguer les problématiques de ces personnes. »
Ce qui impliquerait une mobilisation des services sociaux et des renforts dans leurs effectifs. Beaucoup moins simple à mettre en place qu’un numéro de téléphone.
C'est tellement facile pour ceux qui critiquent les commerçants sans même chercher à comprendre quel est réellement le problème.
Cela fait des années que nous avons des sdf qui se fixent dans les rues de Strasbourg mais qui ne posent pas plus de difficultés que ça parce que non agressifs.
Bizarrement ces sdf auxquels nous donnions régulièrement la pièce ont disparu des abords de nos magasins (chassés par qui? par pas nous en tous cas!). Le problème est l'apparition de groupes de jeunes marginaux (appelés sdf si vous voulez mais je ne suis pas sûre qu'ils le soient tous, équipés comme le sont certains, avec leur téléphone portable ou d'autres qui viennent se rajouter au groupe avec leur cartable sur le dos une fois que la cloche de l'école a sonné)
qui viennent avec leur chien, rarement tenus en laisse et qui braillent, qui boivent, qui se droguent et qui "baisent" en plein milieu de la rue... et ça c'est du vécu!!! La prochaine fois ont vous prend les photos des préservatifs usagés après leur départ...
Quand la police arrive deux heures après notre appel (dans le meilleur des cas), ils s'assagissent comme par magie, les chiens sont soudainement tenus en laisse, le volume sonore diminue et les policiers nous disent qu'ils ne peuvent rien faire puisqu'ils ne les prennent pas en flagrant délit, dans le meilleur des cas ils les dispersent et ils reviennent quelques heures plus tard!
Nous avons déjà eu une vitrine cassée (le 15 août!) par représailles car nous avons eu le malheur d'appeler la police.
Notre commerçant voisin a reçu des menaces: "si tu continues à appeler les flics, on te pète tes vitrines"
Les vendeuses qui travaillent dans ce magasin et qui subissent quotidiennement cet enfer, n'en peuvent plus, elles sont à bout de nerfs, les habitants du quartier (notamment ceux avec enfants) n'en peuvent plus non plus et envoient également des lettres à la mairie ou à la police pour se plaindre.
Donc non nous n'avons rien contre la liberté de ces jeunes mais nous ne sommes pas d'accord non plus pour sacrifier la nôtre, celle de vivre en paix et d'exercer notre métier en toute sérénité!
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres...
Bonne année à tous
Pour ce qui est de faire la manche à la sortie de l'église, c'est pourtant bien ce qu'ils font, ces affreux, – mais celle de la Très Sainte Consommation, dont la bonne ville de Strasbourg est en ce moment-même le Vatican.
la question des sdf est politique (publique,collective)et doit etre posee aux elus,demander aux particuliers de les accueillir dans leurs appartements c est culpabiliser facilementceux qui les defendent .
Vous pensez vraiment que la plupart sont de pauvres personnes vulnérables ?
Est ce que vous avez déjà côtoyé des SDF ? Est ce que vous avez envie de les avoir dans votre vie ?
Est ce vraiment honteux d'en avoir marre de devoir côtoyer et subir des gens violents sous l'emprise de l'alcool ?
Certains ont tellement rien à perdre et vous méprisent tellement, que vous ayez pitié d'eux ou pas !
Quand j'en vois certains qui montent dans le tram avec leur tête de détraqué, ou qui rentrent dans la boutique ou tu bosses histoire de casser des choses, vous allez pas me dire que vous vous sentez rassuré? Sans compter les SDF qui font des tentatives de viol, et celui qui assis sur un banc à la place kleber et qui d'un coup se lève pour pisser presque sur son voisin assis à côté de lui qui mange tranquillement son sandwich. Que c'est agréable !
Je comprend ceux qui en ont marre de les subir, commerçant ou pas.
La vie ne leur à pas fais de cadeau mais est ce une raison de le faire payer aux autres ?
J'ai du côtoyer un SDF qui était encore assez gentillet, j'ai du dormir dans le même appart plusieurs fois vu qu'il était un "ami" de mon copain jusqu'à ce que tu comprennes : opportuniste, leçon de moral quand tu dis des choses qui plait pas,violent quand il pétait son câble, manipulateur, et qu'est ce que c'était bien quand il squattait 3 jours d'affiler sans demander l'avis à personne, mais le must du must : misogyne !
Alors vivez un truc pareil avant de dire que c'est honteux d'en avoir ras le bol des sdf agressif !
Mais ça n'est pas le sujet, chère Julie. A lire cet article, ce qui est en cause, c'est la présence-même de ces personnes dans les rues strasbourgeoises; c'est le fait qu'elles "salissent" ces rues;... et là, on change de dimension, non ? C'est le genre d'engrenage où on sait bien où il commence, mais moins jusqu'où il peut mener, parce qu'on finit toujours par être gêné par quelqu'un, vous ne croyez pas ?
Le sujet, c'est que la seule approche envisagée, c'est d'envoyer la police "nettoyer la rue", en renonçant à toutes les autres solutions, à commencer par le travail de médiation sociale auprès de ces personnes et des solutions de prise en charge, hébergement, traitement, travail...
Ah oui, mais la médiation sociale, comme la police de proximité, les solutions durables, ça demande des moyens, que la gestion comptable des budgets publics a fait disparaître. et cette gestion comptable des budgets publics, elle est imposée par qui, dites moi ? Par les marchands. Et la boucle est bouclée.
Arrêtez donc un moment d'aboyer et prenez le temps d'essayer de répondre à cette question, donc : qui est vraiment responsable de la présence de ces personnes dans votre rue ?
Personnellement, j'ai passé mon enfance dans le quartier gare des années 90, avec ses drogués, ses prostitués, et ses fameux clodos. Je voyais quotidiennement des SDF vautrés dans leur pisse et leur vomi dans le hall de mon immeuble voire carrément sur mon paillasson d'appartement chaque matin avant d'aller à l'école; et quand on leur disait de s'en aller, ils te regardaient à peine et se trainaient à quatre pattes hors de l'immeuble comme un chien, et encore... J'avais franchement pitié d'eux, car ils n'avaient rien et surtout plus aucune dignité humaine en eux. Or, tout le monde a le droit d'être digne dans la vie.
Après, j'ai aussi vu des personnes très violentes, sous l'emprise d'alcool et de drogue, et là il s'agissait plutôt de groupes qui vivent avec leurs propres règles. La maladie mentale également, ou une quelconque inadaptation à la vie en société, ça exclut (très) facilement. Mais plus on se montrera intransigeant et rigide dans l'intégration des gens, plus il y aura d'exclusion...et de la violence et du mépris de tous bords selon moi. Sans rêver pour autant d'un monde de bisounours, on est très loin d'être une société modèle en matière d'humanité.
Il y a des lois, à respecter par tous. Et ceux qui ne veulent pas la respecter peuvent aller sous d'autres cieux et créer leur société.
pourquoi pas le 17 ?
Ah oui les flics preferent donner des amendes au honnêtes citoyens, ils peuvent payer eux.
Les sdf non.
Les pauvres y font aucun effort pour devenir riches
Y'en a marre, marre des pauvres !
(didier super)
L'état d'urgence est d'abord économique et social. Et la réponse sécuritaire n'y changera rien, si le modèle ultralibéral et consumériste n'est pas remis en cause, qui n'en finit pas de créer de l'exclusion et de la révolte.
Les commerçants nantis appellent les flics en bêlant, c'est juste pitoyable et d'une bêtise sans nom.
L’article R632-1 du code pénal modifié par le décret n°2010-671 du 18 juin 2010 –art.4 qui prévoit et punit de l’amende prévue pour les contraventions de 2e classe le fait de déposer, d’abandonner, de jeter ou de déverser, en lieu public ou privé, à l’exception des emplacements désignés à cet effet par l’autorité administrative compétente, des ordures, déchets, déjections, matériaux, liquides insalubres ou tout autre objet de quelque nature qu’il soit, y compris en urinant sur la voie publique, si ces faits ne sont pas accomplis par la personne ayant la jouissance du lieu ou avec son autorisation.
8.6 etc...
1]...Gabrielle est dans le métier depuis trente ans et tient aujourd’hui une boutique de vêtements de sport au milieu de la rue piétonne,
2°Sabine tient une boutique de chapeaux plus haut dans la Grand’rue, tout près de la supérette
3°Éric a dû s’habituer aux coups de sang des SDF. Sa boutique d’articles orientaux est juste en face de la supérette de la Grand’rue :
Finalement, en 70 ans, la gauche n'a pas beaucoup changé.
C'est pourtant bien ce que ces chers commerçants demandent et c'est ce que leurs inféodés (CCI et Municipalité) vont finir par leur accorder. Avec l'approbation de moins en moins complexée des loups, qui sont nombreux à hurler ici. Donc, vous avez raison, cher Philippe, le fascisme est en marche, mais il ne vient pas d'où vous dites.
Moi, ce que je dis, c'est qu'avant d'envoyer la ratonnade, il faut essayer de comprendre ce qui pousse ces personnes à ces comportements-là et d'agir sur ces causes-là. Mais la ratonnade, c'est plus facile que de se coltiner les conséquences d'un système économique et social, dont seuls les marchands profitent, quand tous les autres souffrent.
Le fascisme commence aussi quand on ose affirmer sans complexe que des personnes "salissent" une rue. Ca rappelle furieusement les Untermenschen, qui déplaisaient tant aux nazis. Pour vous, cher Philippe, ces personnes qui boivent de la bière et écoutent de la musique sous vos fenêtres, sont-elles des Untermenschen ?
Plus sérieusement, ce comportement est honteux...
Du coup je m'interroge, pourquoi ces bonnes volontés n'accueilleraient pas des SDF ? Ils sont moins méritants que ces braves migrants ?
PS : malgré votre rêve de nous imposer une dictature gauchiste (on a vu ce que ça a donné dans l'histoire...), aujourd'hui on a encore le droit de ne pas penser comme vous !
Ne pas confondre ces bandes de voyous squatteurs et fouteurs de m.. avec les gentils clodos qu'on a pu connaître à qui on donne la pièce.
Ca ne choque personne que la place Kleber soit squattée par ces énergumènes insupportables? Quelle image donne t on aux touristes? Aux enfants avec qui on se promène?
Gestion municipale socialiste? Et après on s'étonne du résultat de certains scrutins.
Bonne initiative donc mais il serait intéressant de demander à la police quelles sont ses moyens d'agir, hormis les faire s'éloigner de quelques hectomètres pour revenir dans la journée.
Et les roms qui harcèlent les passants on en parle?
http://sain-et-naturel.com/canada-probleme-mal-logement.html
cet article confond LOGEMENT et HEBERGEMENT,un logement c est un lieu durable;l hebergement c est la nuit ou plusieurs dans un lieu ou un autre ...
(message aux bien pensants éloignés: venez habiter avec les marginaux, après vous pourrez peut-être en parler en juste connaissance de cause).
Ainsi un type assis sur un banc, les cheveux longs et sales, mal habillé, vomissant de l'alcool est sans nul doute un SDF un p'tit peu éméché
Dans une soirée, un type, les cheveux longs et sales, mal habillé, affalé sur une banquette, vomissant de l'alcool est un branché
vous oubliez plus de cameras plus de hauts-parleurs diffusant:les infos commerciales,des magasins et des banques(c est aussi des magasins-commerces)ouverts 24h/24 ;Les recomandations du commercant chef-de-quartier;des ecrans video avec les portraits des individus(sdf,rom,musulman,gôoochiste,etranger non-client )tout ce qui salit l amour PROPRE du commercant et de son client ...
IL y a quinze jour c etait Bardet ?
il a demmissionné ?
pourquoi ?
La peur est installee depuis les attentats,tout ce qui derangeait peut etre reprimé..
CCI,je vois ta petite moustache et ta houpelande,tout le monde au garde-à-vous !
Finalement, ça fait aussi marcher le commerce.
" 9 000 logements vides et non sur le marchés à strasbourg. Tiens, des gens dans la rues ? Des logements ? C’est peut être une piste."
Tout à fait !
http://www.strasbourg.eu/actualites/-/asset_publisher/lG7u/content/l-eurometropole-de-strasbourg-cherche-entreprises-du-batiment-pour-travaux-dans-logements-vacants#.VmbkmHsfslI
Les aérations qui se trouvent souvent à l'entrée des immeubles et magasins ne sont entretenues quasiment nulle part, pas même à l'entrée des boutiques classe. Vous voulez de l'image de propreté ? commencez par là.
Ça fait trois ans que je suis installé ici, et c'est le truc qui m'avait tout de suite choqué : ces grilles d'aération dégueulasses devant les boutiques et les immeubles, que personne ne semble remarquer !
Strasbourg, c'est comme une vieille dame, jolie, digne, qui se maquillerait, s'habillerait bien, se parfumerait presque tous les jours, mais qui ne se laverait jamais...
encore que? attendons les elections prochaines ce probleme pourrait etre reglé plus vite que prévu
Mais proposer un numéro spécial direct de ce type dans le contexte actuel....