Dès novembre 2016, avant la primaire de la gauche, deux adjointes au maire de Strasbourg, Nawel Rafik-Elmrini et Christel Kohler, avaient rejoint le mouvement « En Marche » de l’ancien ministre de l’Économie Emmanuel Macron. Mais elles sont des élues « de la société civile » c’est-à-dire non-encartées. Ce choix n’était pas forcément significatif des équilibres politiques au sein du Parti socialiste (PS) strasbourgeois.
Depuis, la primaire du PS . . .
>

Cet article fait partie de l’édition abonnés. Pour lire la suite, profitez d’une offre découverte à 1€.
Contribuez à consolider un média indépendant à Strasbourg, en capacité d’enquêter sur les enjeux locaux.
- Paiement sécurisé
- Sans engagement
Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous


Chargement des commentaires…