Dans le premier volet de notre enquête sur Faruk Günaltay, nous avons montré le réseau tentaculaire du dirigeant de l’Odyssée. Basé à la fois sur des liens diplomatiques et européens, mais aussi sur des amitiés fortes avec des notables locaux, des patrons de presse et des expert-comptables. Un système qui permet à Faruk Günaltay de tenir depuis 30 ans le cinéma municipal, malgré des comptes en déficit constant, et des alertes ignorées par la Ville.
Un ancien fonctionnaire proche du dossier de l’Odyssée résumait ainsi : « Quand on a besoin de se construire une ceinture d’otages autour de soi, ça veut tout dire. » Une protection qui va au-delà de la mauvaise gestion économique du cinéma, puisqu’elle a également permis à Faruk Günaltay de rester en place, malgré des dénonciations sur ses pratiques managériales.

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