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L’association des jardins ouvriers de Strasbourg ouest (Ajoso) impose une réglementation stricte à ses jardiniers : la moitié de la surface doit être composée de plants de fruits et de légumes. Si celle-ci n’est pas respectée, des sanctions sont appliquées, qui peuvent aller jusqu’à l’expulsion.
Aller plus loin
Sur Rue89 Strasbourg : À l’ouest de Strasbourg, on ne badine pas avec les jardins familiaux
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https://www.rue89strasbourg.com/drame-potager-a-koenigshoffen-91853
, un écolo-permaculteur exhortant un petit retraité, une famille nombreuse, un ouvrier issus de l'immigration cultivant leur parcelle, de réduire leur productivité, et de renverser l'assos pour développer la permaculture à l'image de son pauvre jardin en friche qu'il montre en exemple à suivre pour ces sans-dents, ça aurait été très drôle aussi. Bien plus décalé, fin d'esprit, original et politiquement incorrect.
d'où
Vassili = prénom d'origine slavo-russe, donc nécessairement néofasciste pro Poutine
c'est plus clair comme ça ?
"Alsaciens de Koenigshoffen = allemands adeptes d’un ordre totalitaire = nazis (point Godwin de troll), d’après l’analyse de Vassili. d’où Vassili = prénom d’origine slavo-russe, donc nécessairement néofasciste pro Poutine c’est plus clair comme ça ?"
Donc à vous remercier d'abord de me défendre face à l'inanité d'une succession de clichés sans fondement. Mais pensez-vous vraiment qu'il est nécessaire de dénoncer un raisonnement aussi indigent ?Parce que de simplement reproduire le caractère tout à fait absurde d'un raisonnement sans importance n'a de fait aucun intérêt. Comme vous le montrez bien en la "déduction" délirante que vous reproduisez où le monsieur pas de Koenigshoffen à Poutine, on est dans le délire total.
ET pensez-vous vraiment que des gens sensés doivent se préoccuper de telles inepties.
IL est vrai que c'était un peu de ma faute parce que je pensais savoir qui était Mordéchaï et que j'ai réagi sans trop vite.
Mais vu la dimension tout à fait insignifiante que cela a pris je sais que ce n'était pas "mon" Mordéchaï ( je vais lui passer un coup de fil) qui était dans tant de médiocrité.
Maintenant, écoutez-moi bien !!!
Je me fous de que vous projetez su mon prénom.
Je n'ai jamais en ce lieu proposé que des commentaires décents !
Je n'ai aucune envie de me trouver en agression avec quelque troll que cela soit.
Je suis toujours resté dans un débat démocratique.
Mais il y a une chose que je ne tolérerai pas !
C'est qu'on m'agresse personnellement !
Je m'en tiens aux règles de ce lieu
Et le Seigneur sait que je suis tolérant.
J'ai le sincère désir de contribuer à un débat constructif
Et je suis heureux de la ligne positive que prend ce site !
Je n'ai donc pas le moindre envie de trolls agressifs qui par exemple m'attaquent sur mon prénom.
Parce que ce qui est important c'est la force des arguments
pas les bassesses qui considère que mon prénom serait un facteur de discrédit et qui signet avec des formules anonymes !
Socrate disait : "Je n'accepterai de parole vraie que celle derrière laquelle se tient un homme ! "
Il se trouve simplement que les règlements de beaucoup de jardins "ouvriers" (si le terme est encore permis) sont souvent extrêmement rigoureux au point où la totalité de la parcelle (d'où le mot totalitaire qui n'a rien de politique) est souvent divisée par pourcentage en surface d'occupation autorisée. Par exemple tant de pourcentage pour la cabane, tant de % pour le gazon, tant de % pour les fleurs, tant de % pour les légumes, etc...La totalité de la surface de la parcelle est réglementée. Et je connais même à Berlin (Ouest) des jardins où la réglementation porte aussi sur la présence autorisée ou non d'animaux ( du chien jusqu'au canari). Il y a même en Allemagne des jardins de ce type où règnent les retraités et où sont interdits soit en totalité, soit en partie les enfants !!! Et je ne parle pas de certaines clauses spécifiques concernant la musique, les fêtes entre voisins et les werstele !!!
L'article de Clémence Simon est en ce sens objectif et éloquent.
Elle pointe deux points essentiel ( et c'est d'ailleurs pour cela que j'apprécie la qualité grandissante du travail de Rue89 Strasbourg) :
1/Passons sur les couleurs des cabanons mais la questions des désherbants pose un réel problème surtout pour des locataires qui refusent la radicalisation chimique...Et la journaliste fait bien de soulever la question....
2/ Le second point soulevé est plus problématique puisqu'il pose le problème des rapports Ville / Associations. Cette phrase par exemple : "Une conception du jardinage à mille lieux de celle que la Ville tente de promouvoir, plus écologique, et qui est mise en place dans les jardins partagés." reste pour moi énigmatique.
Mais quoi en soit l'article de Clémence Simon est de ces articles qui font de Rue 89 Strasbourg un site des plus utiles pour les habitants de la région parce qu'il touche à pleine des questions locales.
Et surtout il ouvre sur de possibles négociations lesquelles peut-être sans lui auraient été à tout le moins plus difficiles.On aimerait que Clémence Simon suive cette affaire parce que personnellement je crois que ce Monsieur qui a sans doute un peu loupé ses premières années de jardinage ne doit pas être expulsé pour autant.Sans compter que je crois savoir que la bourrage est une plante officinale, et qu'elle est est depuis quelques années intégré dans les plats des plus grands étoilés du Monde. ET si elle attire les abeille ce n'est pas pour rien...
Donc à remercier votre journaliste pour son si intéressant article.
Parce q'une fois de plus il ouvre un débat citoyen utile sur la ville de Strasbourg.
Ah. Pour le totalitaire , il est vrai que je n'aimerais pas louer une parcelle où chaque jour les anciens implantés ( des retraités souvent) viennent gentiment vous souhaiter la bienvenue en soulignant à chaque fois tous les trucs que vous n'avez pas le droit de faire. C'est arrivé à l'époque à un jeune couple d'amis (elle Créole lui Breton) et dégoûtés au bout de trois semaines.Au bout de trois semaines ils ont laissé tomber. Et pourtant ils en avaient une véritablement envie.
Mais vous savez qu'il y a des jardins associatifs ( et aussi en Allemagne) qui fonctionne bien .
A dire vrai, je n'ai de connaissances de ces jardins que par des amis qui ont soit renoncé d'emblée, soit ont abandonné dégoûtés.
Je comprend tout à fait un certain nombre de règles de nature disons écologique.
Enfant nous avions dans ma famille des propriétés où nous pouvions faire en gros ce que nous voulions. Je me souviens de deux conflits. Le premier était relatif à des arbres dont les racines attaquaient les canalisations et les branches les fils électriques. Il était normal de rectifier. Le second conflit était plus problématique. Nous avions vendu une propriété à l'un de nos cousins. Et celui-ci par manque d'éducation et de diplomatie avait réussi à se fâcher avec la voisine avec laquelle nous étions en bonne entente depuis des décennies. Le résultat a été qu'il a fallu abattre un sapin plus que centenaire sous lequel étaient enterrées des générations de chiens et de chats. Je ne sais ce qui m'a mis le plus en colère... La mort du sapin ou le sacrilège séculaire ?
Aujourd'hui j'ai ( pas en France ) une propriété où l'on me demande juste de laisser la nature plus ou moins en l'état en évitant les incendies possibles.Il y en a eu cet été encore mais plus au Sud. On y a échappé.
Mais à vrai dire je comprend votre amour de la terre.
Il n'y a rien de plus beau que de voir croître les choses qu'on a planté !
Mais à laisser aussi à la terre et à l'expérience son temps.
Aucun jardin ne peut être d'emblée exemplaire, non ?