À 42 ans, le mal passe enfin la barrière des mots. Clotilde Pratt raconte son parcours depuis que le pire lui est arrivé, derrière la porte verrouillée d’une salle de bain, en 1990 . . .
>
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Chargement des commentaires…