Après le faible score d’Éric Zemmour à l’élection présidentielle (7,07%), la campagne des élections législatives de son parti, Reconquête !, s’annonçait difficile. L’éditorialiste polémique, lui-même candidat dans le Var, est d’ailleurs peu actif pour faire profiter son parti ou ses candidats de sa surface médiatique. Et en Alsace, le parti n’a guère de personnalités en capacité de grapiller des points par leur notoriété.
Mais la campagne est encore plus difficile dans le Bas-Rhin, à cause d’une scission interne. Le parti a dû couper les ponts avec Alain Moyemont, qui était devenu à l’hiver le responsable de Reconquête Bas-Rhin. Cette mise sur la touche a entrainé le retraits d’autres candidats investis et entravé la communication des remplaçants trouvés en dernière minute.
Le refus d’investiture qui ne passe pas
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous
Chargement des commentaires…