Contrairement à 2017, aucun député d’Alsace n’accède à l’une des fonctions de premier plan de l’Assemblée nationale, telles une présidence de commission, de groupe, une vice-présidence de l’Assemblée ou un rôle de questeur… Les quinze députés alsaciens ont néanmoins trouvé leur point d’attache avec une répartition dans huit commissions permanentes, toutes présidées par des membres de la majorité (désormais relative) présidentielle. À l’exception de celle des Finances, remportée par l’Insoumis Éric Coquerel.
Députée de Strasbourg-centre, l’écologiste Sandra Regol siègera dans la commission des Lois. Lors d’un entretien au Club de la presse le 24 juin, elle avait assuré que c’est l’instance qu’elle visait. En tant que secrétaire générale adjointe d’EE-LV, la numéro 2 du parti a un regard d’ensemble sur les politiques et le programme de la Nupes et c’est ce côté transversal qui l’attire :
« C’est une commission avec beaucoup de travail, puisque la plupart des lois y sont discutées. C’est là où l’on traite de la vie de tous les jours et des libertés. »
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous


Chargement des commentaires…