« Je me questionne sur le fond, peut-on faire planer la menace d’une sanction pour des actes qui n’ont pas été condamnés? » Au téléphone, Olivier Gerrer, représentant du personnel CGT à la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) en Alsace, est dubitatif. Il a pris connaissance par la presse des courriers envoyés par le préfet du Bas-Rhin Jacques Witkowski aux parents de mineurs interpellés entre Noël et Nouvel An pour des faits de « violences urbaines ».
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