Le maire de Strasbourg, Roland Ries (PS), et le président de l’Eurométropole, Robert Herrmann (PS), ont plaidé de concert pour un statut « frontalier » de l’aéroport de Strasbourg lors de la venue du Premier ministre Édouard Philippe à Strasbourg mi-mai. Le tandem strasbourgeois s’inquiète d’une certaine fragilité de l’établissement malgré des aides publiques.
L’objectif serait d’aligner la fiscalité avec celle de ses concurrents allemands et suisses à proximité, en s’inspirant du statut « binational » et unique au monde de Bâle-Mulhouse, « bien que l’aéroport soit entièrement sur . . .
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