« Mon seul regret ? Avoir rejoint le gouvernement. » Invitée par la Fondation pour Strasbourg ce jeudi 24 octobre, Catherine Trautmann n’a pas manqué d’évoquer avec tristesse son renoncement à la mairie strasbourgeoise pour devenir ministre de la Culture de 1997 à 2000. La référence plaît à l’auditoire, où se sont massés de nombreux nostalgiques des prédécesseur·es de Jeanne Barseghian. À plusieurs reprises, le public applaudit l’actuelle présidente du groupe d’opposition socialiste au conseil municipal strasbourgeois. Ils étaient près de 400 dans l’auditorium de l’ENA – 200 dans une autre salle ouverte face à l’affluence – pour écouter les trois anciens maires décrire leur vision de Strasbourg pour 2040.
« Il faut savoir tenir ses positions »
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