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De la rue au tribunal, la laborieuse pénalisation de l’islamophobie à Strasbourg

En Alsace, peu de dossiers relatifs à des faits anti-musulmans arrivent devant les tribunaux. Un rapport parlementaire estime que les actes islamophobes sont largement sous déclarés.

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De la rue au tribunal, la laborieuse pénalisation de l’islamophobie à Strasbourg
Peu d’affaires d’islamophobie arrivent devant les tribunaux.

« Notre but est d’éviter qu’une personne accusée de racisme soit relaxée, on ne peut pas prendre ce risque. » Me Christine Mengus est l’avocate du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) Alsace depuis une quinzaine d’années. Inscrite au barreau de Strasbourg, elle a peu d’exemples de dossiers dans lesquels l’association qu’elle représente s’est portée partie civile aux côtés de victimes de faits anti-musulmans ou islamophobes (une dizaine par an au niveau national, estime l’avocate).

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