Les vitrines et l’entrée des Galeries Lafayette brisées ou arrachées, les devantures d’un Starbucks, d’un Mc Donald’s, d’agences bancaires taguées et fendues, des panneaux publicitaires JC Decaux dégradés… Après l’annonce du recours à l’article 49-3 de la Constitution par le gouvernement Borne, le rassemblement du vendredi 17 mars à Strasbourg a propulsé la mobilisation locale contre la réforme des retraites dans une autre dimension : quatre manifestations sauvages réunissant des centaines de personnes ciblant des symboles du capitalisme ont eu lieu fin mars, avec systématiquement un « black bloc ».

« On est très soutenus dans les manifestations ces derniers temps. »
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