Le lundi 30 mars, Alain Fontanel (LREM), premier adjoint au maire, annonçait sur Facebook la « première opération de désinfection » de l’espace public à Strasbourg dans le cadre de la lutte contre le coronavirus : « Pour éviter tout risque environnemental, nos services ont sélectionné le désinfectant Panox, 100% biodégradable. Il n’est ni toxique ni corrosif ni mutagène et ne contient pas de chlore ou de javel. »
Cette description ne corrobore pas tout à fait l’avis de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), publié en 2012 lors de l’autorisation de mise sur le marché du Panox en France :
« Le produit ne satisfait pas à toutes les dispositions relatives à la responsabilité environnementale. »
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