Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vousDepuis les attentats de 2015, les enseignants doivent signaler à leur hiérarchie toute « atteinte à la laïcité » ou « fait de radicalisation » d’un élève. D’après le ministère de l’Éducation nationale, ces signalements ont fortement augmenté en octobre 2022. Pourtant, du côté des profs, cette pratique semble peu répandue, ni appréciée. Un rôle de « flic » qu’on leur attribue et qui met certains d’entre eux mal à l’aise.

Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous

Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous
Chargement des commentaires…