« Ni patrie ni mari, ni nation ni patron ». « Moins de machos, plus de matchas ». « Ras le viol ». Place Kléber samedi 8 mars, les banderoles et les pancartes fleurissent sous le soleil de mars, à une demi-heure du départ de la manifestation antipatriarcale. Les sections du cortège s’agrègent doucement et Jessy et Yasmine cherchent celle où elles vont choisir de défiler. Étudiantes, les deux amies n’en sont pas à leur première manifestation du 8 mars comme le regrette Jessy :
« On voudrait ne plus avoir besoin de cette journée, parce que cela voudrait dire qu’on a atteint l’égalité des droits. Au lieu de ça, c’est de plus en plus important de venir chaque année, parce qu’il y a des régressions en matières de droits des femmes dans de nombreux pays ».




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