« On nous accuse d’utiliser des moyens démesurés pour faire passer nos opinions… et nous garder en garde à vue pendant 46 heures, pour une suspicion de tag, ce n’est pas démesuré ? » Dans la cour du tribunal de Saverne, des militants du mouvement écologiste Extinction rébellion répondent aux micros des journalistes. Drapeaux et pancartes à la main, une centaine de personnes sont venues soutenir les huit activistes interpellés pour avoir tagué un pont afin de dénoncer l’enfouissement de 42 000 tonnes de déchets toxiques à Stocamine (lire nos enquêtes), l’ancienne mine de potasse située en dessous de la nappe phréatique d’Alsace à Wittelsheim (Haut-Rhin).
Une garde à vue dénoncée
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