À Strasbourg, plus de 300 internes en médecine se sont portés volontaires pour soutenir le personnel soignant alsacien. Une expérience éprouvante pour certains, une « drôle de guerre » pour les étudiants non-réquisitionnés, préoccupés pour leurs collègues et leurs patients concernés par les fermetures de service « non-urgent . . .
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