« Quand j’ai vu tous ces internes volontaires, ça m’a rendue encore plus fière du métier que je fais. » Audrey Musanda est interne en médecine générale à Strasbourg. Elle préside aussi le syndicat étudiant Sarra-Img et participe à l’orientation de plus de 300 de ses camarades prêts à soutenir le personnel soignant face à la pandémie de coronavirus. À plusieurs reprises, l’ex-stagiaire en pédiatrie a prêté main forte aux urgences de Sélestat : « C’est impossible de rester chez moi, soigner mes patients, c’est tout ce que je sais faire », explique-t-elle au téléphone.
Une « drôle de guerre » pour certains volontaires
Même volonté de soutenir les collègues chez Mathieu (le prénom a été modifié), interne de 29 ans. Après trois demi-journées passées au centre de régulation des appels du Samu, l’étudiant strasbourgeois parle de son expérience de « drôle de guerre ». Il sait que les infirmières sont débordées, tout comme les médecins en réanimation.
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