Lundi 20 août, Éric Schultz, conseiller municipal écologiste de Strasbourg, réagissait dans nos colonnes à l’interdiction de baignade naturelle aux anciens bains publics du Herrenwasser. Robert Herrmann, premier adjoint socialiste, lui répond aujourd’hui. Si, pour l’élu du Parti socialiste, la mauvaise qualité des eaux constitue bien un sujet important, aucun membre du conseil municipal n’aurait dû soutenir l’action des baigneurs.
Le soleil et la chaleur que nous avons connus ces derniers jours ont certainement embrumé quelques esprits verts.
Eric Schultz a-t-il oublié qu’il était élu ? Et qu’à ce titre, s’affranchir si ouvertement des règles relève d’une provocation pour l’État de droit qu’il est censé représenter.
Se juge-t-il au dessus des arrêtés pris par le maire pour ne pas les respecter ? Est-ce du ressort d’un élu de procéder dans son action par la pression et des actions illégales ? Bel exemple de démocratie locale !
Reprenons avec un peu plus de cohérence et de raison ce sujet.
Les zones de baignades autorisées doivent être délimitées et protégées de toute contamination. Deux installations sanitaires, au minimum, doivent être installées sur les sites autorisés.
Cette règle d’hygiène émanant de l’Agence régionale de santé a été renforcée par une directive européenne de 2006. On peut comprendre alors combien il est difficile de garantir un état sanitaire des cours d’eau respectant de manière pérenne cette exigence. Si des contrôles existent, ils ne peuvent assurer des résultats suffisants permettant la baignade.
En matière de sécurité, à partir du moment où il n’y a pas d’interdiction formulée, la collectivité a obligation de garantir la sécurité des baigneurs, avec un aménagement des accès, une information et un dispositif de surveillance. Là encore, l’obligation est forte et nécessite la mise en œuvre d’un dispositif matériel et humain non négligeable.
In fine, c’est la responsabilité du maire qui est ainsi engagée. Un élu local ne peut l’oublier. De même qu’il ne peut oublier que ce sujet doit être traité avec beaucoup de sérieux. Parce que c’est bien de la santé des personnes dont il s’agit. Avec d’éventuels troubles digestifs, respiratoires et ORL à la clef liés à cet aléa sanitaire des rivières.
La difficulté n’est pas strasbourgeoise. Preuve en est l’interdiction le 6 août dernier par la Préfecture de police de Paris de la traversée de la capitale à la nage pour des raisons de sécurité des nageurs, de qualité insuffisante de l’eau de la Seine et donc d’un risque sanitaire élevé.
Au-delà de ces considérations élémentaires, et nonobstant la question de la protection de la biodiversité des berges qui ne manquera pas d’être soulevée, et dont on peut s’étonner que des écologistes s’affranchissent aussi facilement, le débat sur la baignade et la qualité des cours d’eau est recevable, intéressant et peut être porté. Je déplore que nos amis verts qui participent à l’exécutif municipal n’aient jamais sollicité dans notre ville un véritable débat sur cette question qui mérite mieux que des coups médiatiques et des voies de fait.
Robert Hermann
Premier adjoint au maire de Strasbourg
Pour aller plus loin
Sur Rue89 Strasbourg : Baignade naturelle, ne nageons pas à contre-courant
Sur Rue89 Strasbourg : Baignade naturelle, mais interdite, aux anciens bains publics de Herrenwasser
A propos de la qualité de l'eau en général :
le chlore, présent dans l'eau qui coule de nos robinets, considérée comme "bonne à boire", est-il aussi anodin à long terme ?
je me le demande
En tout cas, à chaque fois que je m'oublie et en bois.... la réaction ne tarde pas : dessèchement des yeux, poches, visage gonflé.... et si je persiste plusieurs jours apparaissent des crevasses, la peau très sèche.
Plus subtilement : l'énergie baisse, la dépression guette.
comme si, en buvant l'eau chlorée, je me déshydratais, je perdais ma force de vie....
suis-je la seule dans ce cas ?
Dans tous les cas, l'eau tout comme la gestion du déplacement par exemple, sont des points environnementaux de premier ordre et une pseudo politique pour bonne conscience ne suffit plus... des actes et des preuves, voilà ce que désirent un grand nombre de nos concitoyens.
Il ne s'agit pas simplement de dire, il faut agir et prouver l'action.
Mais en intervenant sur des sujets aussi glorieux que les baignades en eau naturelle, il cherche à faire la démonstration de son omniprésence politique.
Il se murmure que les deux hommes ne s'apprécieraient guère. Mais qui peut apprécier un individu qui dit non à tout?
Ma préoccupation est plus prosaïque voire terre à terre car elle touche au problème secondaire que constitue un équipement sportif et de loisir.
Les querelles intestines entre élus de la même majorité au conseil municipal dépassent de loin la question de savoir si la Ville et la Cus prendront la décision de faire construire par exemple une nouvelle piscine.
Dans le post de Monsieur Schultz, il est question de faire construire un nouvel établissement dans le cadre de l’euro district.
Il n’empêche, si des élus, appartenant à la même majorité municipale, en viennent à régler leur compte publiquement pour une sombre histoire de baignade en eau naturelle, quand est-il alors lorsqu’il s’agit d’examiner des dossiers qui concernent des projets d’investissement lourds, des équipements publics qui affectent la vie des citoyens.
Dans cette hypothèse, il devient plus aisé de comprendre les raisons qui font apparaitre l’actuel spectacle déplorable auquel assistent les strasbourgeois.
Autrement dit avec un tel système de pensée qui ressemble plus à de l’obstruction intellectuelle quand ça ne confine pas à de la rigidité psychologique,c’est la meilleure façon de ne pas se tromper et sans doute espère-t-on d”être, un jour, élu maire de Strasbourg.
Mais en tout état de cause les citoyens sont lassés voire écœurés par autant de mépris exprimé par un élu à leur encontre qui oublie une chose son pouvoir il le doit au suffrage universel direct.
Etre premier adjoint n’est pas électif mais nominatif.
Mais sans doute que le premier adjoint se projette-t-il déjà vers le poste de premier magistrat de la ville.
Tout le monde a le droit de rêver même les plus naïfs.
La fonction d'Eric Schultz, élu Europe Ecologie, est d'être en charge de la démocratie locale. Parfait! L'action qu'il a soutenue n'est-elle pas justement une action citoyenne dans le but d'alerter la municipalité? La démocratie ne doit pas être au service d'un camp, ni d'un parti mais à l'ensemble des citoyens.
Monsieur Herrmann est joue la malhonnête dans ses propos et semble avoir, selon moi, au nom du Parti Socialiste, une sorte d'amnésie sur le travail des élus écologistes au sein du Conseil municipal strasbourgeois et/ou de la CUS.
Eric Schultz a été parfaitement dans son rôle dût à sa fonction en étant à l'écoute d’un groupe de citoyens sur une anomalie qui perdure depuis 1955 et dont personne n’a repris le dossier depuis. Je parle de l’interdiction de baignade sur le secteur du ‘Herrenwasser’ dont les motifs sont flous.
Et puis au-delà de la fonction municipale de Monsieur Schultz, nous sommes en démocratie et en tant que telle, avant d’être conseillé municipal, il appartient à Europe Ecologie Les Verts, il est citoyen et a parfaitement le droit de soulever un problème…
La polémique ne cacherait-elle pas autre chose ?
En tout cas, nous sommes en droit de se le demander.
"M. le Président, mes chers collègues, les priorités des axes que vous nous proposez aujourd’hui dans ce schéma directeur des piscines pour notre agglomération nous conviennent globalement.
Je souhaite cependant souligner en quatre points les éléments qui, pour nous écologistes, nous paraissent importants. Quatre éléments pour enrichir ce plan.
Le premier élément est l’inscription de ce schéma directeur dans le cadre d’un plan baignade global qui intègre les piscines et son schéma directeur notamment. En effet, on ne peut pas limiter notre analyse, notamment pour l’offre de loisirs, aux seuls équipements lourds tant en investissement qu’en gestion. Nous avons dans notre région un certain nombre de baignades
de plein air qui complètent avantageusement l’offre des piscines publiques et nos concitoyens le savent très bien.
Alors travailler sur la qualité de l’eau et la restauration écologique de nos cours d’eau permettra également d’envisager de redécouvrir le plaisir simple de se baigner dans la nature dans le respect évidemment des règles élémentaires de sécurité.
D’ailleurs le contrat cadre que la Communauté urbaine de Strasbourg va signer avec l’Agence de l’eau, nous l’avons vu
précédemment, nous engage aussi sur cette voie.
Le deuxième élément concernant ce schéma directeur est son inscription en faveur de piscines écologiques. Pour rester dans le même registre, nous élus écologistes, nous souhaitons que la
nouvelle piscine dont il est question s’inspire des piscines municipales biologiques ou écologiques qui se développement actuellement de plus en plus. Je voudrais citer en exemple
la commune de Combloux en Haute-Savoie qui fonctionne depuis 2002. Il y a bien d’autres exemples chez nos voisins allemands dont en particulier une grande ville qu’est la ville de Munich. Ces piscines savent utiliser aujourd’hui les capacités d’autoépuration de l’eau et éviter l’utilisation de produits chimiques.
Le troisième élément pour enrichir ce schéma est son inscription dans le cadre de l’Eurodistrict. Ce schéma directeur doit s’inscrire dans ce cadre autant du fait que les habitants de la Communauté urbaine de Strasbourg fréquentent très assidument les établissements d’outre-Rhin mais aussi parce qu’il a été question, en tout cas c’est un débat qui est ouvert dans le cadre de l’Eurodistrict, de réaliser une nouvelle piscine.
Le quatrième élément est de concevoir ce schéma directeur en faveur du maintien d’un service de proximité car je souhaiterais en guise de conclusion rappeler que les bains municipaux du boulevard de la Victoire jouent un rôle important dans l’offre de service public de proximité aujourd’hui et que ce rôle doit être maintenu. Ces bains sont non seulement une petite piscine qui accueille la plupart des écoles de la Ville de Strasbourg mais ce sont aussi surtout des bains publics à vocation sociale, un service de proximité, un service public qu’il nous faut impérativement maintenir. Je vous remercie pour votre écoute."
Tout est dit...
Je ne polémique ou ne donne de leçons j'exprime simplement un Ras le Bol. Car pour qu'une telle situation ait pu ainsi se développer, il n'y a pas de fumée sans feu.
Un peu d’histoire,dans les années 90 Jean Daniel Moussay alors responsable à la Sns des nageurs de compétition voulait monter un pôle d’élite à l’image du modèle mulhousien.
Nul ne peut contester de la bonne volonté de Jean Daniel Moussay de créer une section de nageurs de compétition utile au club car il n’ y avait,à priori,aucune raison de ne pas posséder à Strasbourg une section de haut niveau surtout que la Sns possédait la capacité d’arriver à cette fin.
Le problème dans ce genre de projet c’est son financement. A l’époque c’était Madame Trautmann qui était maire de la ville de Strasbourg et Monsieur Herrmann son adjoint au sport.
Dans un premier temps la Ville avait donné un accord de principe quand à la constitution de la section d’élite.
Mais le projet capota car la somme allouée par la ville était insuffisante ou du moins ne répondait pas aux attentes de financement attendues par la Sns.
Pour ma part, je ne sais pas quelles sont les causes de l’antagonisme qui oppose Robert Hermann à Jean Daniel Moussay.
Date-t-il de cette période, c’est-il entretenu et développé avec le temps et pour d’autres motifs au point qu’aujourd’hui chacun campe sur ses positions en souvenir du premier désaccord qui a opposé Robert Herrmann à Jean-Daniel Moussay?
Nonobstant les caractéristiques qui forment la personnalité des deux protagonistes,le fait que l’un est un caractère tranché ou l’autre plus soucieux de son avenir politique, il est une chose claire, cette situation qui ressemble à une guerre de tranchée doit cesser.
Le coté risible de cet affrontement qui empêche de produire du sens et cela dans l’intérêt de la collectivité n’est à mettre au crédit d’aucun des deux protagonistes.
Il en suit la chose suivante nous sommes face à un déni d’intérêt pour la chose publique.
Car le problème des piscines est devenue une querelle personnelle qui oppose un adjoint municipal et un nageur sportif dont sont témoins et victimes la grande majorité des usagers.
L’association ( piscinepourtous) défend les nageurs/usagers du service public,c ’est ainsi qu’il convient de l’entendre et exerce une fonction d’information auprès des usagers du service public et
des responsables politiques,du moins comme on pourrait le supposer.
Pour autant,l’absence d'écoute de la part du pouvoir municipal auprès de cette association indique qu’il existe bien un réel antagonisme.
Alors que faire,quelle voie prendre afin,qu’enfin,le dialogue s’installe entre les défenseurs d’une certaine conception des piscines, et ceux dont c’est la charge de les gérer.
J’en appelle publiquement à Monsieur Robert Herrmann 1er adjoint de Monsieur le Maire Roland Ries,mais aussi à Monsieur Jacques Bigot président la Cus et bien sûr Monsieur Claude Froelhy
mais aussi à Jean-Daniel Moussay et à son fils Jérémy Moussay qu’ils essayent de trouver un terrain d’entente.
Il ne serait pas inopportun de provoquer une réunion publique qui recueillerait l’ensemble des usagers afin qu’ils fassent aussi entendre leurs voix.
S’il se présente volontiers comme un grand démocrate, il ne supporte pas qu’on puisse avoir un avis différent du sien. Certes, monsieur Schultz s’est associé à une initiative qui s’est déroulée hors du cadre de la loi, mais la désobéissance fait partie de la démocratie. L’histoire nous a montré qu’il faut parfois savoir se mettre dans l’illégalité pour défendre des valeurs et faire évoluer la société. Heureusement, il n’est ici question que de faire trempette, les enjeux sont limités. Cela aura au moins eu le mérite de mettre sur la table la question des baignades.
Cependant, cette affaire montre aussi qu’à Strasbourg, il faut aujourd’hui rester dans le rang et se taire sous peine de se retrouver mis à l’index. Pas de place pour les voix discordantes.
Il y a peu, j’ai eu droit à une variante de cette façon de procéder de la part d’une responsable administrative, chargée des piscines. Comme je lui faisais part de mes réserves sur la qualité de la nouvelle piscine du Wacken, elle m’a suggéré d’aller vivre à Mulhouse. La CUS, on l’aime ou on la quitte.
Monsieur Herrmann s’inquiète de la protection de la biodiversité des berges de l’Ill. On aurait aimé qu’il manifeste le même intérêt pour la biodiversité des Vosges, menacée depuis quelques années par le Rallye de France, et à une échelle bien plus grande. Cela appelle une question : la municipalité de Strasbourg est-elle au service de ses citoyens ou de ses touristes ? Les uns n’auraient pas le droit de piétiner l’herbe pour aller se baigner, les autres seraient encouragés à le faire pour applaudir des sportifs ?
Monsieur Herrmann déplore que les Verts de Strasbourg n’aient pas proposé un débat sur les baignades à Strasbourg. Un débat voisin, celui concernant les piscines, a été ouvert depuis des années, porté par l’association «Piscines pour tous». Le terme de débat est d’ailleurs mal approprié. La ville n’a jamais porté attention aux demandes, sinon quand elles étaient relayées par des conseillers de l’opposition ou juste après la publication d’articles dans la presse. Dans les commentaires qui accompagnent cette tribune, JCM déplore la querelle opposant messieurs Herrmann et Moussay (dont je suis le fils aîné, ceci dit afin que les choses soient claires). Il ignore peut-être que depuis des années, la municipalité oppose silence et mépris aux avis qu’on peut lui donner. S’il y a une résistance acharnée de la part des usagers, dont monsieur Moussay et les membres de son association constituent l’avant-garde, elle est la conséquence d’une absence totale d’écoute et de consultation.
Un seul exemple : dès que furent connus les plans du Wacken, l’association avait émis des critiques, expliquant que la nouvelle piscine serait trop petite, inadaptée et compliquée à gérer. Les faits lui donnent raison. Aujourd’hui, ni les usagers ni le personnel de la piscine n’y trouvent leur compte. Monsieur Herrmann en sait quelque chose, lui qui était présent à la piscine du Wacken vendredi 17 août pour en discuter. Il est juste dommage qu’il n’ait pas pris la peine de venir saluer les équipes en poste au bord du bassin et constater par la même occasion à quel point il était déjà encombré à 10h du matin.
Maintenant que la fraîcheur est revenue sur l’Alsace, peut-être est-il temps d’entamer des discussions sur la question des baignades, celles dans l’Ill et celles dans les piscines.
Depuis le temps qu’on le demande.
tout ça pour 15 personnes qu'il veulent ce baigner dans une riviere, pas pour s'amuser mais par désobéissance
y'a pas plus important comme probleme à strasbourg
Une simple question: quand arriverez-vous à pouvoir dialoguer,de manière intelligible sans que cela ne se traduise par des invectives.
Je vous rappelle Messieurs Herrmann et Moussay qu'il y a, à Strasbourg, des questions de fond qui méritent un autre débat que vos mesquines querelles intestines.
Les enjeux que posent, en particulier, la problématique des piscines,leur gestion,leur organisation,dépassent de loin cette sempiternelle guéguerre stupide dont sont témoins beaucoup d'usagers.
Depuis l'annonce de la réalisation du nouveau Wacken,nous assistons à un perpétuel règlement de compte qui oppose Monsieur Moussay et Monsieur Herrmann.
Débat stérile,querelle inutile et sans fondement à part peut-être la personnalité de l'un et de l'autre dont les logiques contraires produisent cette incessante opposition.
Mais sur le fond c'est le blocage total.
Il est temps de cela cesse Messieurs.
Les citoyens de cette ville sont lassés de voir autant d'énergie gâchée surtout que les enjeux sont d'autant plus importants qu'à terme, si aucune décision n’est prise, c’est la cité et ses citoyens qui en feront les frais.
Vous les politiques n’oubliaient pas ceci vous ne disposaient du pouvoir que par la volonté du peuple.
Quand à ceux qui au travers d’une association de défense des usagers que n’a t-elle fait si ce n’est entretenir la défiance face au politique par la critique sans que cela suscite le moindre intérêt.
Mais rien ne les empêchent de faire part de leurs idées si du moins ils en possédent. .
http://www.bern.com/fr/activites/baigner/bain-fleuve
http://youtu.be/hly8NG3y-vE
Ici, en Alsace, à qui doit on cette pitoyable qualité de l'eau ?
Reste donc notre boite à sardines du wacken, que le monde doit nous envier, pour (essayer de) nager en plein air...
et tout cela avec des partis pris qui montrent bien que soit le maire de Berne est totalement inconscient soit que le nôtre est en panne de vision...
Et la liberté d'expression, vous connaissez ??
Vous osez demander à M.Schultz s'il a oublié qu’il était élu ?
Vous voudriez peut-être lui donner une fessée !
C'est votre vision passéiste de la politique et de la démocratie qui explique pourquoi autant de citoyens ne viennent plus voter et pourquoi autant de jeunes élus sont écoeurés de la politique...
Osez vous remettre en question, venez seul (et sans costume cravate) à la piscine de schilik ou du wacken pour constater par vous même qu'il n'y a ni sécurité réel, ni hygiène et que la responsabilité du maire dans tout ça ne correspond qu'a la peur que vous avez de répondre à la réalité...vous vivez dans un autre monde, dans une autre époque mais votre "titre" d'élu vous fait croire que vous avez la science infuse, la vérité absolue...
Comme vous le dites, revenons aux choses élémentaires...
- avez vous signé la charte d'anticor comme M.Schultz l'a fait ? - quels sont vos revenus d'élus aujourd'hui après plus de 10 ans de mandat ?
Combien de fois par an allez vous dans une piscine de la CUS (et laquelle) sans délégation ?
Monsieur Herrmann le fait qu'un écologiste,enfin si on veut, ait lancé l"idée de se baigner dans ce qui fut les baignades populaires en eau naturelle,il n'y aurait pas comme une critique sous jacente à votre politique sur la douloureuse question des piscines à Strasbourg?
Le chef-d'oeuvre aquatique qui ressemble plus à une boite de conserve natatoire qu'est devenu le wacken,voilà où se situe la véritable interrogation sur les lieux de baignades.
Votre alter ego à la CUS, Claude Froehly, grand ordonateur du plan piscine si Eric Schultz lui proposait d'aller nager au Herrenwasser,je pense que Claude Froehly préferait aller faire trempette au wacken et pour cause l'eau est chlorée par de risque de faire une infection quelconque.
Quoi que car par jour de grande affluence la qualité de l'eau du wacken et loin de répondre aux critéres d"hygiène.
La CUS mais aussi implicitement la ville de Strasbourg,vous nous avez gratifié d'un splendide bassin en inox supposé repondre aux attentes des usagers.
Sans doute la démarche de Eric Schultz s'inscrit dans la volonté de proposer aux usagers des vos piscines une alternative, celle de retrouver les charmes d'antan où la baignade estivale se limitait au Herrenwasser.
Et pour cause Strasbourg ne disposait pas encore de ce patrimoine natatoire celui de posséder des piscines qui ne sont plus adaptées à la demande de la population.
Mais c'est vrai, le wacken constitue cette nouvelle alternative de pouvoir pratiquer la natation,certes toute l'année,mais en pafaite adéquation avec la demande réelle des besoins des usagers .