Fin novembre, en pleine semaine d’examen du projet de loi visant à inscrire le droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution, deux actualités ont résonné l’une avec l’autre. Le 22 novembre, la députée EE-LV de la première circonscription du Bas-Rhin, Sandra Regol, a reçu dans son courrier une courte lettre qualifiant l’avortement « d’acte sanglant par lequel il est mis fin à la vie d’un être humain », accompagnée d’un fœtus en plastique scotché en bas de page.
Le lendemain, une réunion organisée dans l’enceinte du Parlement européen et intitulée « Agir contre l’avortement aux États-Unis et en Europe : la voie à suivre », provoquait la mobilisation spontanée d’une centaine de féministes devant l’institution européenne.
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