Elles se sont longuement serrées dans les bras, à peine sorties de la Grande Chambre de la Cour européenne des Droits de l’Homme (CEDH) de Strasbourg. D’un côté, Marie Dosé, l’avocate devenue emblématique de ce dossier des Françaises détenues en Syrie avec leurs enfants, et de l’autre, Juliette (le prénom a été modifié), l’une des grand-mère du collectif des familles Unies.
Toutes les deux ont le sourire, mais Juliette, elle, pleure aussi. « Je suis très émue, glisse-t-elle. On est tellement soulagés. Maintenant, il faut que ça se fasse, et vite. Ils ne peuvent pas passer un autre hiver là-bas. »


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