Philippe Richert était pressé. Un peu trop peut être. Au début de l’été 2021, le président de l’Arsea a annoncé aux quelque 1 400 salariés de cette association du secteur social son projet de fusion avec l’Abrapa, autre association d’environ 3 400 salariés, spécialisée dans le service à la personne. Ancien président Les Républicains de la Région Grand Est, Philippe Richert a décrit l’ambition d’une « nouvelle association unique, puissante, durable et non lucrative qui répondrait aux besoins d’aide à l’autonomie, à l’inclusion et à l’épanouissement, quel que soit l’âge, la situation sociale ou l’état de santé de la personne ». Il espérait « que ce projet devait aboutir d’ici un an » et s’engageait « pour que cette fusion se passe au mieux ».

Une fusion qui inquiète les salariés

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