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Le scandale politico-financier derrière la dissolution de l’institut de cancérologie

Le CHU de Strasbourg s’est retiré du partenariat derrière l’institut de cancérologie à la fin de l’été 2024. Malgré plus de 160 millions d’euros d’argent public investis, les pouvoirs publics ont laissé le Centre Paul Strauss, un établissement privé, prendre le contrôle de l’Icans.

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Sur le papier, l’Institut de cancérologie de Strasbourg était un projet prometteur. Le partenariat public-privé devait permettre de mutualiser les moyens du Centre hospitalier universitaire (CHU) avec ceux d’un centre de lutte contre le cancer pour former un pôle d’excellence régional en cancérologie. Plus de 130 millions d’euros d’argent public ont été investis par les deux acteurs de santé pour construire un bâtiment voisin de l’hôpital de Hautepierre. Mais depuis l’ouverture de l’institut, les partenaires n’ont en réalité jamais cessé de se faire la guerre. D’un côté, l’hôpital public a continuellement dénoncé la mainmise du Centre Paul Strauss sur la gouvernance de l’Icans. De l’autre, le partenaire privé a toujours craint d’être absorbé par le mastodonte CHU. Fin août 2024, le directeur des HUS a fini par annoncer la fin du partenariat. Retrouvez ici nos enquêtes sur ce dossier intitulé : « Icans : chronique d’un divorce à 120 millions »

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