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Danielle Simonnet, rapporteure de la commission d’enquête relative aux Uber Files, s’est intéressée au dossier Mediflash. La députée insoumise dénonce l’inaction de l’État face à une entreprise soupçonnée de travail dissimulé. Elle a signalé les faits au parquet de Paris.
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La plateforme Mediflash met en relation des établissements de santé, en particulier des maisons de retraite, avec des aides-soignantes au statut d’autoentrepreneur. Une pratique illégale qui perdure depuis la fondation de la société en juillet 2020. Avertissement de deux ministères aux agences régionales de santé en décembre 2021, contrôles de l’inspection du travail en janvier 2023, signalement d’une députée pour travail dissimulé le 11 septembre 2023… L’étau se resserre sur l’entreprise.
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Photo : Parlement européen / cc
La plateforme Mediflash a bénéficié de plus de 450 000 euros de la Banque publique d'investissement entre 2021 et 2022. Or selon une estimation de l'Urssaf, l'entreprise élude des millions d'euros de cotisations patronales.
Photo : Maud de Carpentier / Rue89 Strasbourg / cc
Dans un courrier envoyé à des dizaines d'Ehpad, l'inspection du travail du Grand Est avertit que Mediflash s'est rendu coupable de travail illégal. La plateforme met en relation des Ehpad avec des aides-soignantes au statut d'auto-entrepreneur.
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