Dossier
Le bilan de Jeanne Barseghian
De 200 à 400 millions d’euros, pourquoi la dette de la Ville de Strasbourg a doublé en six ans
Le bilan financier du mandat de Jeanne Barseghian à la tête de la Ville de Strasbourg se dessine. Il s'est distingué par un recours massif à l'emprunt, au point de doubler la dette. Une réponse à "la dette écologique et sociale" selon la municipalité écologiste.
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Dossier
Le poison discret de la pollution industrielle






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Effectivement, un coup sec suivi d’une vibration en pleine nuit . Maintenant on sait. On a presque l’habitude ! A chaque fois un peu plus fort ! Le plus drôle c’est qu’on démarre un forage à 3 km, à Schwabwiller, puis un doublet à Rittershoffen et à 5 kms, et un puits à Reimerswiller (Soultz sous Forêt). On va être sur un vrai trampoline.. De qui se moque-t-on ? Opérateurs qui lèvent des fonds colossaux et élus beats d’admiration attendant la manne financière vous disent et redisent : Tout est maitrisé ! Va falloir s’habituer à trembler (dans tous les sens) ! . Et cerise sur le gâteau, en pleine enquête publique pour le parc industriel à Hatten et sa raffinerie de lithium. Terres agricoles et historiques qui ne font pas trembler les élus dans leurs certitudes . Mais dame nature pourrait comme à Vendenheim, donner un coup d’arrêt brutal. Tremblera bien qui tremblera le dernier !
Voir plusMr Labben : la classe !
Votre détermination et votre créativité civique sont inspirantes.
« Le second licenciement a été une nouvelle fois refusé par l’inspection du travail le 21 février 2025, les inspecteurs établissant « qu’il ressort ainsi de l’ensemble de ces éléments que le lien entre la présente demande d’autorisation de licenciement et l’exercice du mandat [de délégué du personnel, NDLR] détenu par Monsieur Labben est établi ». Atef Labben a par ailleurs saisi le Défenseur des droits, mercredi 2 avril 2025, pour obtenir la reconnaissance de son statut de lanceur d’alerte. »
Voir plusVous évoquez le désarroi des villageois. On les comprend. Ils vivent à la campagne. Tranquilles. Ils ne demandent rien à personne. Ils cultivent sainement. Les services publics et de santé les oublient. Mais pas les industriels ! Des pollutions anciennes et enfouies qui ne demandent qu’à resurgir, comme Stocamine ou Pechelbronn ou la ruée sur les zones rurales sous couvert de transition écologique et d’emplois. Tout est organisé, planifié pour salir, détruire, défigurer, polluer. Et tant pis pour les locaux, il ne comptent pas plus qu’un passereau ou une pie grieche. Apres les « sans dents », les invisibles et sans voix.
Voir plusEffectivement, un coup sec suivi d’une vibration en pleine nuit . Maintenant on sait. On a presque l’habitude ! A chaque fois un peu plus fort ! Le plus drôle c’est qu’on démarre un forage à 3 km, à Schwabwiller, puis un doublet à Rittershoffen et à 5 kms, et un puits à Reimerswiller (Soultz sous Forêt). On va être sur un vrai trampoline.. De qui se moque-t-on ? Opérateurs qui lèvent des fonds colossaux et élus beats d’admiration attendant la manne financière vous disent et redisent : Tout est maitrisé ! Va falloir s’habituer à trembler (dans tous les sens) ! . Et cerise sur le gâteau, en pleine enquête publique pour le parc industriel à Hatten et sa raffinerie de lithium. Terres agricoles et historiques qui ne font pas trembler les élus dans leurs certitudes . Mais dame nature pourrait comme à Vendenheim, donner un coup d’arrêt brutal. Tremblera bien qui tremblera le dernier !
Mr Labben : la classe !
Votre détermination et votre créativité civique sont inspirantes.
« Le second licenciement a été une nouvelle fois refusé par l’inspection du travail le 21 février 2025, les inspecteurs établissant « qu’il ressort ainsi de l’ensemble de ces éléments que le lien entre la présente demande d’autorisation de licenciement et l’exercice du mandat [de délégué du personnel, NDLR] détenu par Monsieur Labben est établi ». Atef Labben a par ailleurs saisi le Défenseur des droits, mercredi 2 avril 2025, pour obtenir la reconnaissance de son statut de lanceur d’alerte. »
Vous évoquez le désarroi des villageois. On les comprend. Ils vivent à la campagne. Tranquilles. Ils ne demandent rien à personne. Ils cultivent sainement. Les services publics et de santé les oublient. Mais pas les industriels ! Des pollutions anciennes et enfouies qui ne demandent qu’à resurgir, comme Stocamine ou Pechelbronn ou la ruée sur les zones rurales sous couvert de transition écologique et d’emplois. Tout est organisé, planifié pour salir, détruire, défigurer, polluer. Et tant pis pour les locaux, il ne comptent pas plus qu’un passereau ou une pie grieche. Apres les « sans dents », les invisibles et sans voix.