De 200 à 400 millions d’euros, pourquoi la dette de la Ville de Strasbourg a doublé en six ans
Le bilan financier du mandat de Jeanne Barseghian à la tête de la Ville de Strasbourg se dessine. Il s'est distingué par un recours massif à l'emprunt, au point de doubler la dette. Une réponse à "la dette écologique et sociale" selon la municipalité écologiste.
Édition d'hier
Photo : Fantasio Guipont / Rue89 Strasbourg
Photo : Dorian Mao / Rue89 Strasbourg
Photo : schoolartBYschoolboy / Flickr
Édition de mercredi
Photo : Claire Gandanger / Rue89 Strasbourg
Édition de mardi
La carte des élèves à la rue de Strasbourg
Pour prendre la mesure de l'ampleur du sans-abrisme chez les enfants et mettre en lumière les actions citoyennes, Rue89 Strasbourg propose une carte des principales mobilisations dans les écoles de l'agglomération. Cette carte et cette chronologie, rendues possibles par le travail du collectif Pas d'enfant à la rue, seront mises à jour durant tout l'hiver 2025.
Photo : Eva Chibane / Rue89 Strasbourg / cc
Photo : Camille Margerit / Rue89 Strasbourg
Photo : Pascal Bastien / Rue89 Strasbourg
Édition de lundi
Photo : Thibault Vetter / Rue89 Strasbourg
Édition de dimanche
Photo : Pascal Bastien / Rue89 Strasbourg
Des passionnés de lithographie veulent redonner vie à l’imprimerie Geistel à Cronenbourg
À l'ouest de Strasbourg, l’ancienne imprimerie Geistel est restée figée dans les années cinquante. Pierres lithographiques, presses centenaires et vieilles étiquettes témoignent d'un riche passé que l'association Litho Geistel veut rouvrir au public.
Photo : James Coote
Photo : Mathilde Schissele / Rue89 Strasbourg
Édition de samedi
Photo : Pierre France / Rue89 Strasbourg / cc
Photo : Boris Eldagsen
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Le poison discret de la pollution industrielle
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Pourquoi ramenez-vous maintenant la question des week-ends dans votre argumentation ? Le projet ne fait pas de distinguo entre les jours de la semaine. A croire que vous n’avez lu l’article qu’en diagonale. Ce qui ne vous empêche toutefois pas d’ergoter.
Voir plusOui, il faudra donc procéder à des contrôles. Ça tombe bien : il y en a déjà. Gageons qu’on trouvera un moyen de les fluidifier. Par exemple avec la demande en ligne d’un document unique : pas besoin de se promener avec un sac à dos de pièces justificatives.
Il ne s’agit pas de taxe, mais de commerce dont les prix sont libres et s’adaptent à la demande. Si les touristes doivent débourser 10 € par jour de marché, ils auront moins d’argent pour le logement, dont le prix baissera peut-être.
Voir plusJe voudrais vous y voir a payer le vrai coût d’une école, d’un musée, d’un transport en commun, d’une route, d’un parking. Finalement c’est un peu à l’image de l’opposition, « grande bouche », faire mieux et plus avec moins d’argent. Que du vent en somme.
Voir plusPourquoi ramenez-vous maintenant la question des week-ends dans votre argumentation ? Le projet ne fait pas de distinguo entre les jours de la semaine. A croire que vous n’avez lu l’article qu’en diagonale. Ce qui ne vous empêche toutefois pas d’ergoter.
Oui, il faudra donc procéder à des contrôles. Ça tombe bien : il y en a déjà. Gageons qu’on trouvera un moyen de les fluidifier. Par exemple avec la demande en ligne d’un document unique : pas besoin de se promener avec un sac à dos de pièces justificatives.
Il ne s’agit pas de taxe, mais de commerce dont les prix sont libres et s’adaptent à la demande. Si les touristes doivent débourser 10 € par jour de marché, ils auront moins d’argent pour le logement, dont le prix baissera peut-être.
Je voudrais vous y voir a payer le vrai coût d’une école, d’un musée, d’un transport en commun, d’une route, d’un parking. Finalement c’est un peu à l’image de l’opposition, « grande bouche », faire mieux et plus avec moins d’argent. Que du vent en somme.