« Le maintien définitif de ces déchets par la pose de sarcophages en béton conduira à la pollution de la plus grande nappe phréatique d’Europe qui empoisonnera l’eau potable de 7,5 millions de personnes », alerte Emmanuel Fernandes. »
Les insecticides du maïs et du colza pour polluer la nappe phréatique par le haut. Les déchets enfouis à la Stocamine pour la polluer par le bas. On est pas sortis de l’auberge…
On ne parle pas des habitants des villages qui vivent en proximité des champs. Suivant leurs jardin sont directement en contact avec les champs et le vent distribue bien ces pesticides partout dans les villages!
« Il faut arrêter de réfléchir molécule par molécule, avec l’idée que certaines ne sont pas dangereuses. En toxicité directe, bien sûr, il y a des différences. Mais concernant la dangerosité à long terme, la plupart du temps, rien n’est prouvé sur les nouveaux pesticides. Les exploitants ne doivent pas non plus se dire que s’ils utilisent une faible quantité, ils courent moins de risques. On se rend compte aujourd’hui que ces produits peuvent avoir des impacts à très faible dose. »
« Le maintien définitif de ces déchets par la pose de sarcophages en béton conduira à la pollution de la plus grande nappe phréatique d’Europe qui empoisonnera l’eau potable de 7,5 millions de personnes », alerte Emmanuel Fernandes. »
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IM
Ingrid Mazza-Schottstädt
Abo
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« Il faut arrêter de réfléchir molécule par molécule, avec l’idée que certaines ne sont pas dangereuses. En toxicité directe, bien sûr, il y a des différences. Mais concernant la dangerosité à long terme, la plupart du temps, rien n’est prouvé sur les nouveaux pesticides. Les exploitants ne doivent pas non plus se dire que s’ils utilisent une faible quantité, ils courent moins de risques. On se rend compte aujourd’hui que ces produits peuvent avoir des impacts à très faible dose. »
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Merci rue89 de communiquer sur ce dossier 🙏
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Les insecticides du maïs et du colza pour polluer la nappe phréatique par le haut. Les déchets enfouis à la Stocamine pour la polluer par le bas. On est pas sortis de l’auberge…
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« Il faut arrêter de réfléchir molécule par molécule, avec l’idée que certaines ne sont pas dangereuses. En toxicité directe, bien sûr, il y a des différences. Mais concernant la dangerosité à long terme, la plupart du temps, rien n’est prouvé sur les nouveaux pesticides. Les exploitants ne doivent pas non plus se dire que s’ils utilisent une faible quantité, ils courent moins de risques. On se rend compte aujourd’hui que ces produits peuvent avoir des impacts à très faible dose. »