La « révolution des mobilités » n’a pas eu lieu à Strasbourg. Pour s’en rendre compte, il suffit de parcourir l’avenue des Vosges. Même en y fermant les yeux, le bruit régulier et agressif des voitures suffit à constater cet échec cinglant du mandat de la maire écologiste Jeanne Barseghian. Car cette grande artère du quartier de la Neustadt reste un boulevard où circulent 18 000 automobiles par jour, en moyenne, selon l’Eurométropole de Strasbourg (EMS). Autant de moteurs qui laissent derrière eux un parfum imperceptible de particules fines… et un sentiment d’échec à la fin de ce mandat des Écologistes strasbourgeois.

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