Photo : Clara Sapienza / Rue89 Strasbourg / cc
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Dossier
Le poison discret de la pollution industrielle
Photo : Clara Sapienza / Rue89 Strasbourg / cc
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Voir l’ article très documenté du Canard Enchaîné du 26 novembre dernier: » Une épidémie de sondomanie frappe les élections municipales » sous la plume de Clara Bamberger et Yann Voldoire:
» Mais les états-majors politiques et les médias sont drogués aux sondages… » Et aux hallucinations qui vont avec !
Attention au sevrage …
Voir plusMerci à tous ces créateurs d’ idées alternatives et fécondes.
Il participent à » cet invisible qui fait tourner le monde » *
Merci à Rue 89 de tenir avec tant de détermination malgré les obstacles économiques et idéologiques ( ou bien un peu grâce à eux ?)
« Florian Stadelmann trouve cette démarche initiée par les élus strasbourgeois positive, mais il s’inquiète du peu d’intérêt pour l’économie sociale et solidaire des pouvoirs publics à l’échelle nationale. « On est en train de dégouter toute une génération de gens qui voulaient s’impliquer en faisant différemment, en inventant d’autres façons de penser et qui voulaient être dans l’action, regrette t-il. C’est vraiment dommage, pas seulement pour Strasbourg ou nous, mais pour la société en général. » »
https://activite-contributive.org/wp-content/uploads/2024/02/Synthese-1ere-mesure-activite-contributive-lipsyc.pdf
Voir plusBravo Mesdames.
Pour cette lutte, dont chacune et chacun peut se nourrir , qui dessine les contours des
Baptismales
Dystopies
« Ce festival auto-organisé est aussi l’occasion pour les illustratrices de court-circuiter « l’énorme pouvoir financier » qui sévit dans le milieu de la bande dessinée. En ligne de mire notamment : l’absence de droit au chômage, qui précarise des créatrices déjà « sous-payées ». « On cotise, mais sans aucune sécurité financière en retour. Les aides que l’on peut toucher ne sont pas du tout adaptées à notre pratique », souligne l’illustratrice Sarah Ménard. »
je pense à la belle et douloureuse BD de Mansoureh KAMARI » Ces lignes qui tracent mon corps » avec le passage traumatique de la disparition de ses deux cousines qu’elle n’ a jamais connues, exécutées par le régime à 15 et 16 ans, parce qu’elles portaient un tract dissident dans leur sac à dos (pages 71 à 81)
Voir plusVoir l’ article très documenté du Canard Enchaîné du 26 novembre dernier: » Une épidémie de sondomanie frappe les élections municipales » sous la plume de Clara Bamberger et Yann Voldoire:
» Mais les états-majors politiques et les médias sont drogués aux sondages… » Et aux hallucinations qui vont avec !
Attention au sevrage …
Merci à tous ces créateurs d’ idées alternatives et fécondes.
Il participent à » cet invisible qui fait tourner le monde » *
Merci à Rue 89 de tenir avec tant de détermination malgré les obstacles économiques et idéologiques ( ou bien un peu grâce à eux ?)
« Florian Stadelmann trouve cette démarche initiée par les élus strasbourgeois positive, mais il s’inquiète du peu d’intérêt pour l’économie sociale et solidaire des pouvoirs publics à l’échelle nationale. « On est en train de dégouter toute une génération de gens qui voulaient s’impliquer en faisant différemment, en inventant d’autres façons de penser et qui voulaient être dans l’action, regrette t-il. C’est vraiment dommage, pas seulement pour Strasbourg ou nous, mais pour la société en général. » »
https://activite-contributive.org/wp-content/uploads/2024/02/Synthese-1ere-mesure-activite-contributive-lipsyc.pdf
Bravo Mesdames.
Pour cette lutte, dont chacune et chacun peut se nourrir , qui dessine les contours des
Baptismales
Dystopies
« Ce festival auto-organisé est aussi l’occasion pour les illustratrices de court-circuiter « l’énorme pouvoir financier » qui sévit dans le milieu de la bande dessinée. En ligne de mire notamment : l’absence de droit au chômage, qui précarise des créatrices déjà « sous-payées ». « On cotise, mais sans aucune sécurité financière en retour. Les aides que l’on peut toucher ne sont pas du tout adaptées à notre pratique », souligne l’illustratrice Sarah Ménard. »
je pense à la belle et douloureuse BD de Mansoureh KAMARI » Ces lignes qui tracent mon corps » avec le passage traumatique de la disparition de ses deux cousines qu’elle n’ a jamais connues, exécutées par le régime à 15 et 16 ans, parce qu’elles portaient un tract dissident dans leur sac à dos (pages 71 à 81)