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Le 22 mars lors de la visite de Martine Aubry à Strasbourg, la conférence de presse préalable s’est tenue dans les salons de l’hôtel de ville, rue Brûlée à Strasbourg. Pour l’opposition municipale, le maire ne pouvait utiliser ce bâtiment public dans le cadre de la campagne électorale. Le groupe « Strasbourg au centre », par la voix de Jean-Charles Quintiliani, a déposé une interpellation sur ce sujet à l’ordre du jour du prochain conseil municipal lundi 16 avril :
« Monsieur le maire, vous avez utilisé le lieu le plus symbolique appartenant à la collectivité, ainsi que ses moyens et son personnel pour mener une action de campagne électorale. Or, il est interdit d’utiliser les moyens d’une personne morale publique pour mener campagne. Pouvez-vous nous indiquer les personnels et moyens mobilisés pour cette visite ? (…) Vous ne pouvez utiliser [l’hôtel de ville] à vos fins partisanes, comme simple annexe d’un QG de campagne. »
Pendant qu’on s’étripe dans les instances dirigeantes, le Racing Club de Strasbourg a réussi à emporter la rencontre hier à la Meinau grâce à deux buts placés dans le camp de Forbach en seconde mi-temps par Sow et Sichi. Du coup, le RCS est en tête du classement de la CFA2.
Le « grand format » (20 minutes) de Karim Bouaïn et Laurent Haberkorn :
Le compte-rendu de StrasTV.



Suite à l’annexion de Strasbourg à l’Empire allemand en 1871, la ville fut l’objet d’un grand plan d’urbanisme destiné à illustrer la modernité de l’Empire. En 1880, l’architecte municipal Jean-Geoffroy Conrath désigna l’actuelle place de la République et des universités comme constituant la base de la Neustadt de Strasbourg.
Depuis fin 2010, la Région Alsace s’est intéressée à ce patrimoine urbain qui sera examiné durant 6 ans. ces premiers rendez-vous de la Neustadt permettent de découvrir cette partie de l’histoire urbaine et plus précisément, cette année, l’université impériale.
Deux journées de rencontres sont proposées par la Ville, la Région et l’Université. Des conférences autour de l’université impériale de 14h à 17h le vendredi, avec en fin de soirée une réunion publique d’information quant aux résultats de l’inventaire du patrimoine urbain mené dans certains quartiers. Le samedi 14 avril sera rythmé par un atelier photo avec des professionnels durant la matinée, un jeu de piste autour des lieux fréquentés par les étudiants en 1900 et qui se conclura par la remise d’un diplôme à l’ancienne, de 14h à 18h.




Trois administrateurs de l’association du Racing Club de Strasbourg (RCS) ont annoncé dans un communiqué de presse dimanche soir leur démission. Dominique Crochu, Jérôme Hermez et Jérôme Widlocher estiment que « certains membres du conseil d’administration s’accaparent tous les pouvoirs ». Selon ce communiqué, les trois démissionnaires regrettent que la précédente version de la convention liant l’association du RCS à la SAS (société anonyme du Racing Club de Strasbourg, dont Frédéric Sitterlé est le président) n’ait pas été finalement retenue et s’insurgent contre des positions qu’ils jugent contraires à l’intérêt du club. Ils reprochent aussi à l’actuel président du club, Patrick Spielmann de ne pas avoir changer les pratiques du club vis à vis de certains de ses fournisseurs après un audit « dénonçant des agissements graves » selon eux.
Dirigeants impliqués dans le projet de reconstruction du Racing Club de Strasbourg dès l’été 2011, nous avons été élus en janvier 2012 en tant qu’administrateurs de l’Association du Racing Club de Strasbourg Football. Nous avons, depuis, mesuré le travail immense qu’il nous reste à accomplir pour que le projet de Frédéric Sitterlé soit mis en œuvre et puisse conduire à nouveau le Racing vers la place qu’il espère retrouver, dans quelques années, en Ligue 1.
Alors que la période actuelle est essentielle pour aborder la fin de saison et préparer la suivante, il est de notre devoir de mettre en garde tous ceux qui aujourd’hui refusent d’ouvrir les yeux. Les bons résultats de l’Equipe évoluant en CFA2 et le bon comportement du groupe sportif ne doivent pas masquer que la gouvernance du RCS est aujourd’hui en panne. Certains membres du Conseil d’Administration s’accaparent ouvertement tous les pouvoirs depuis la démission (lundi 5 décembre 2011) de Frédéric Sitterlé du poste de Président de l’Association (rendue obligatoire légalement pour prendre la présidence de la SAS).
Nous ne pouvons plus cautionner des pratiques qui ne sont pas acceptables et que nous dénonçons :
Pendant des semaines, le Conseil d’Administration a travaillé sur une Convention novatrice que les membres souhaitaient dans leur grande majorité proposer à ratification. Des fuites médiatiques organisées ont jeté le discrédit sur le projet de Frédéric Sitterlé et sur sa personne. Mettre à disposition de journalistes des documents de travail d’un Conseil d’Administration est un acte grave dont le Président de l’Association ne s’est jamais ému. Rappelons qu’il s’agissait de projets en cours d’élaboration qui ont été transmis de façon partiale, partielle, et de plus pas toujours compris.
Le procès-verbal du CA du lundi 5 mars omet de nombreux points abordés et votés lors de ce Conseil. Les administrateurs ont, d’ailleurs, refusé d’adopter le samedi 17 mars ce PV qui n’a, à ce jour, toujours pas été validé :En effet, Mrs Philippe Chauveau et Matthieu Rabby -dont le travail a été remarquable et salué par le CA pour l’organisation des matches à la Meinau depuis le début de saison- avaient été confirmés dans leurs fonctions pour l’organisation du match du samedi 24 mars dernier contre Dijon 2 avant d’être écartés publiquement par M Henri Ancel, simple administrateur. Ce dernier a, depuis, pris en charge l’organisation des matches sans mandat donc sans légitimité. Et cela en totale contradiction avec la décision des membres du Conseil d’Administration. De plus, lors de cette même séance de début mars, le Conseil avait acté et validé, après un travail collectif de qualité entre les membres, que les contrats d’origine proposés, dès le mois de novembre, par Frédéric Sitterlé visaient un objectif sain et préservaient les intérêts de l’Association. En effet, ils renforçaient de façon forte le pouvoir politique et financier de l’Association. Ils ne constituaient en aucun cas un enrichissement personnel de l’intéressé ni une rente à vie à son profit. Malgré plusieurs relances de différents membres du Conseil d’Administration, Patrick Spielmann, de son propre chef, a refusé d’intégrer cette mention. C’est pour ces deux raisons que le PV du lundi 5 mars n’a toujours pas été adopté et reste donc en suspens ce jour. Des dossiers confiés à des administrateurs leur ont été retirés, de fait, sans aucun motif et sans même avoir eu le respect de les en aviser. Une interview sur Racingstub.com publiée le mercredi 4 avril dernier, de M Philippe Chauveau qui a réalisé, au sein du club, à la demande de Frédéric Sitterlé, un audit des contrats entre le Racing Club de Strasbourg et ses fournisseurs, a pointé des agissements graves et répréhensibles qui doivent donner lieu, au moins, à des explications aux administrateurs que nous sommes. Nous avons fait des demandes d’organisation (vendredi 30 mars et mercredi 4 avril) d’un Conseil d’Administration au Président Patrick Spielmann afin de répondre à ces interrogations et d’avancer sur certains dossiers. A ce jour, nous n’avons même pas reçu un retour de sa part.
A la veille de la mise en place d’une convention « au rabais », qui ne tient aucunement compte des erreurs du passé, loin du projet fort que Frédéric Sitterlé portait en début de saison, et à défaut d’être majoritaires pour lever la chape de plomb qui préside à la gouvernance de l’Association du RCS et pour ne pas cautionner les agissements autocratiques de certains s’arrogeant des droits que le Conseil d’Administration ne leur a pas délégués, nous avons décidé de dénoncer ces méthodes par la seule liberté et l’unique pouvoir qu’il nous reste : démissionner.
« Le Gaullisme, une solution pour demain » est le titre d’un livre publié récemment par l’Amicale Gaulliste du Sénat. Comment le Gaullisme, cette doctrine du XXe siècle nationalo-centrée et arcboutée sur la croissance économique peut-elle être une solution pour demain ? Plusieurs sénateurs aujourd’hui à l’UMP viendront en parler mardi au Pavillon Joséphine à l’Orangerie.
Ces sénateurs de demain sont les invités :
– Gérard Larcher, né en 1949, sénateur des Yvelines, ancien président du Sénat, président de l’Amicale Gaulliste du Sénat
– Roger Karoutchi, né en 1951, ancien ministre, sénateur des Hauts-de-Seine
– Jacques Legendre, né en 1941, ancien ministre, sénateur du Nord
– Jean Bizet, né en 1947, sénateur de la Manche, vice-président de la commission des Affaires Européennes
Est-ce que quelqu’un osera poser une question sur « Gaullisme et économie numérique » ? Sur le défi écologique ? Sur les enjeux de la mobilité partagée ? Bon, peut-être pas, de toutes façons, le sujet de cette conférence-débat est l’Europe.
Conférence-débat « L’actualité des valeurs du gaullisme dans l’Europe d’aujourd’hui », mardi 10 avril à 20h, au Pavillon Joséphine, 1 place de l’Orangerie à Strasbourg. Inscriptions par email préalables nécessaire à contact@andrereichardt.com.

Lire l’article sur l’appel aux dons du Star, lequel a déjà récolté environ 14 000€ en quelques jours.


Le maire de Saâles, l’écologiste Jean Vogel, a écrit au président du Conseil régional Philippe Richert pour lui demander d’organiser des « Etats généraux pour la Coop Alsace ». Constatant qu’en 2012, « il est nécessaire d’aller vers plus de proximité et de favoriser les trajets courts entre producteurs et consommateurs », Jean Vogel remarque que la Coop s’inscrit dans ces tendances depuis sa création. Jean Vogel s’indigne du silence politique entourant les projets de transformation de la Coop Alsace en plusieurs entités, dont le réseau de proximité cédé à Casino.
« Il est consternant qu’au moment où on consacre des centaines de milliers d’euros à la création d’une marque ‘Alsace’, on est en train de faire disparaître une grande partie de ce qui constitue l’esprit de l’Alsace, le mutualisme. Nos parents, grands parents, arrière-grands parents l’avaient initié au début du 20è siècle autour d’une part de l’épargne et du crédit et d’autre part des biens de consommation courants. »
Jean Vogel reconnaît cependant que la Coop doit être restructurée, et c’est pourquoi il appelle à des Etats généraux, afin de « rassembler les collectivités alsaciennes, les communes, le Crédit Mutuel, les dirigeants, les salariés, les sociétaires et l’association de soutien à la Coop. »
Optimiste, Jean Vogel espère un règlement avant la fin juin.
Les gérants des Coop pas emballés par Casino
L’association de soutien aux Coop appelle les sociétaires à la défiance