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GY
Georges Yoram Federmann
Abo
3242 commentaires
Soutien entier et reconnaissant aux soeurs Albisser qui incarnent une espérance de liberté et d’ indépendance.
A l’ âge du nivellement culturel par le bas , cela a un coût qu’il ne serait pas déraisonnable de mutualiser
La ville a des médiathèques non ?
On est pas un village perdu ou la municipalité pourrait racheter le fond et embaucher pour faire vivre un lieu.
Sinon si la ville rachète et paye les salaires elle de facto un droit de regard sur ce qu’il s’y passe….. est ce vraiment ce que souhaite ces deux sœurs.
Il serait bienvenu que ce genre de projet soit public, non seulement pour le symbole (une librairie féministe tenue par deux sœurs) mais aussi par la nature des livres que l’ont y trouve.
Pour préciser ma pensée je ne trouve pas anormal qu’une entreprise comme celle-ci aille mal, elle va un peu contre le système capitaliste, hétéronormé et patriarcal actuel.
Est ce qu’Arte aurait la même liberté d’expression et le même impact culturel si elle était tenue par quelques millions ou milliardaires ?
Comme le dit Bernard, ce genre de projet est indispensable à une société libre.
La ville pourrait racheter le fond et offrir un salaire décents à ces deux personnes, proposer des abonnements par exemple, des lectures de livres pour attirer un autre type de clientèle (je lis beaucoup de livres audio aussi).
Proposer des études thématiques sur différents sujets avec tel ou tel livres, enseignés dans des classes.
Soutien entier et reconnaissant aux soeurs Albisser qui incarnent une espérance de liberté et d’ indépendance.
A l’ âge du nivellement culturel par le bas , cela a un coût qu’il ne serait pas déraisonnable de mutualiser
fred
La ville a des médiathèques non ?
On est pas un village perdu ou la municipalité pourrait racheter le fond et embaucher pour faire vivre un lieu.
Sinon si la ville rachète et paye les salaires elle de facto un droit de regard sur ce qu’il s’y passe….. est ce vraiment ce que souhaite ces deux sœurs.
CL
Christophe LAURENT
Abo
Il serait bienvenu que ce genre de projet soit public, non seulement pour le symbole (une librairie féministe tenue par deux sœurs) mais aussi par la nature des livres que l’ont y trouve.
Pour préciser ma pensée je ne trouve pas anormal qu’une entreprise comme celle-ci aille mal, elle va un peu contre le système capitaliste, hétéronormé et patriarcal actuel.
Est ce qu’Arte aurait la même liberté d’expression et le même impact culturel si elle était tenue par quelques millions ou milliardaires ?
Comme le dit Bernard, ce genre de projet est indispensable à une société libre.
La ville pourrait racheter le fond et offrir un salaire décents à ces deux personnes, proposer des abonnements par exemple, des lectures de livres pour attirer un autre type de clientèle (je lis beaucoup de livres audio aussi).
Proposer des études thématiques sur différents sujets avec tel ou tel livres, enseignés dans des classes.
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Soutien entier et reconnaissant aux soeurs Albisser qui incarnent une espérance de liberté et d’ indépendance.
Voir plusA l’ âge du nivellement culturel par le bas , cela a un coût qu’il ne serait pas déraisonnable de mutualiser
La ville a des médiathèques non ?
Voir plusOn est pas un village perdu ou la municipalité pourrait racheter le fond et embaucher pour faire vivre un lieu.
Sinon si la ville rachète et paye les salaires elle de facto un droit de regard sur ce qu’il s’y passe….. est ce vraiment ce que souhaite ces deux sœurs.
Il serait bienvenu que ce genre de projet soit public, non seulement pour le symbole (une librairie féministe tenue par deux sœurs) mais aussi par la nature des livres que l’ont y trouve.
Pour préciser ma pensée je ne trouve pas anormal qu’une entreprise comme celle-ci aille mal, elle va un peu contre le système capitaliste, hétéronormé et patriarcal actuel.
Est ce qu’Arte aurait la même liberté d’expression et le même impact culturel si elle était tenue par quelques millions ou milliardaires ?
Comme le dit Bernard, ce genre de projet est indispensable à une société libre.
La ville pourrait racheter le fond et offrir un salaire décents à ces deux personnes, proposer des abonnements par exemple, des lectures de livres pour attirer un autre type de clientèle (je lis beaucoup de livres audio aussi).
Proposer des études thématiques sur différents sujets avec tel ou tel livres, enseignés dans des classes.
Merci pour votre démarche.
Voir plusSoutien entier et reconnaissant aux soeurs Albisser qui incarnent une espérance de liberté et d’ indépendance.
A l’ âge du nivellement culturel par le bas , cela a un coût qu’il ne serait pas déraisonnable de mutualiser
La ville a des médiathèques non ?
On est pas un village perdu ou la municipalité pourrait racheter le fond et embaucher pour faire vivre un lieu.
Sinon si la ville rachète et paye les salaires elle de facto un droit de regard sur ce qu’il s’y passe….. est ce vraiment ce que souhaite ces deux sœurs.
Il serait bienvenu que ce genre de projet soit public, non seulement pour le symbole (une librairie féministe tenue par deux sœurs) mais aussi par la nature des livres que l’ont y trouve.
Pour préciser ma pensée je ne trouve pas anormal qu’une entreprise comme celle-ci aille mal, elle va un peu contre le système capitaliste, hétéronormé et patriarcal actuel.
Est ce qu’Arte aurait la même liberté d’expression et le même impact culturel si elle était tenue par quelques millions ou milliardaires ?
Comme le dit Bernard, ce genre de projet est indispensable à une société libre.
La ville pourrait racheter le fond et offrir un salaire décents à ces deux personnes, proposer des abonnements par exemple, des lectures de livres pour attirer un autre type de clientèle (je lis beaucoup de livres audio aussi).
Proposer des études thématiques sur différents sujets avec tel ou tel livres, enseignés dans des classes.
Merci pour votre démarche.