Enquêtes et actualité à Strasbourg et Eurométropole

Un dirigeable au dessus de la cathédrale de Strasbourg

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Entre Vosges et Forêt-Noire, où se mettre au vert

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Respirer en Alsace, se mettre au vert le temps d’un week-end, entre Vosges et Forêt-Noire : Rue89 Strasbourg a sondé ses lecteurs et propose une sélection de lieux accueillants, testés et approuvés. Pour tous les goûts et toutes les bourses.

Labélisé « Hôtel au naturel », Alsace village est une auberge « authentique et chaleureuse », d’après ces gérants Geoffrey Lanoix et Christiane Zerafa, posée entre jardin et forêt dans le village d’Obersteinbach. Dans cet environnement préservé (réserve de la biosphère transfrontalière du Parc naturel régional des Vosges du Nord et du Pfälzerwald), les ruisseaux courent au fond des vallées et les forêts claires de feuillus cachent les ruines des châteaux forts en grès rose construits il y a bien longtemps sur les sommets rocheux. Au cœur de ces trésors naturels, l’hôtel Alsace-Village propose 14 chambres et appartements équipés pour découvrir cette région du nord de l’Alsace.
Hôtel-restaurant Alsace village
à Obersteinbach (à 1 heure de Strasbourg). De 78 à 83€ la chambre double, forfait demi-pension pour une personne (dîner, chambre et petit-déjeuner randonneur) 75€. Tel : 03 88 09 50 59.

Pas très loin de Wissembourg, la ferme-auberge du Moulin des 7 Fontaines est située un peu à l’extérieur du village de Drachenbronn-Birlenbach, à quelques kilomètres du Palatinat, pas loin du Soultzerkopf, bien connu des grimpeurs. Pour Pascal, un lecteur, l’adresse vaut aussi bien pour le cadre « dépaysant, à une heure de Strasbourg » que pour la cuisine « roborative, en bonne quantité, avec quelques plats typiques comme des tartes flambées ou du vacherin glacé »… Cette adresse des Vosges du nord est aussi intéressante par les belles balades en forêt à faire autour.
Ferme-auberge du Moulin des 7 Fontaines, à Drachenbronn-Birlenbach (à 60 kilomètres de Strasbourg). Tel : 03 88 94 50 90. Compter entre 82 et 86€ pour une chambre double avec petit-déjeuner.

Avec enfants

Dans les Vosges

Si une balade en forêt suffit souvent à faire plaisir aux très jeunes enfants, les plus grands sont parfois un peu plus exigeants. Alors deux propositions de week-ends pourraient les satisfaire : un court séjour à la ferme bio Lindgrube de Gérard Lauler à Breitenbach d’abord. Une ferme bio avec vaches et moutons, qui propose des produits frais comme des yaourts. Le tout avec « avec superbe vue sur le val de Villé », note un contributeur.
Ferme Lindgrube, à Breitenbach (50 minutes de Strasbourg). Environ 260€ le week-end, possibilités de locations à la semaine (prix en fonction des périodes). Tel : 03 88 57 29 41.

La seconde adresse est à réserver aux « grands » enfants. À Grandfontaine, à la frontière de l’Alsace et de la Lorraine et surtout au pied du Donon, les Cabanes du Goutty sont au nombre de cinq, un vrai petit village perché de trois à six mètres au-dessus du sol, sur pilotis. « Sympa inattendu une parenthèse totale en pleine nature », assure une lectrice. L’occasion de se réveiller au son des chants d’oiseaux, avec un petit-déjeuner déposé au bas de sa cabane…
Les cabanes du Goutty, à Grandfontaine (1 heure de Strasbourg). De 130 à 190€ la nuit (deux à quatre personnes). Possibilité de paniers du terroir. Tel: 03 88 20 18 21.

En Forêt-Noire

De l’autre côté du Rhin, nos lecteurs conseillent l’Ochsenhof, une vieille ferme XVIIIe siècle avec des gîtes et, pas très loin, une auberge (Vesperstube), la Schwedenschanze qui propose des petits plats froids.
L’Ochsenhof, à Schonach-Rohrhardsberg (1h30 de Strasbourg). Contact : +49 7722-6272 ferien@ochsenhof.com

Pour les marcheurs

Dans les Vosges

À 20 bonnes minutes de marche du premier parking, la ferme-auberge du Gsang est connue des amateurs d’ambiances montagnardes et rustiques. Sur les hauteurs de la vallée de Masevaux (près de Thann), on y dîne à la chandelle. L’auberge est ouverte en hiver, avec possibilité d’y accéder en raquettes. Pour dormir, il faudra redescendre au camping des Mines d’argent.
• Ferme-auberge du Gsang, à Moosch (à 1h30 de Strasbourg + la montée à pied). Tel : 03 89 38 96 85. Que ouvert en Hiver ça dépend de la fréquentation. Uniquement sur réservation (par téléphone).

Val d’Orbey Photo : stefanschuur / FlickR / cc

Sur les hauts de chaume, l’hôtel-restaurant Le Bouton d’or sur les hauteurs d’Orbey et Lapoutroie. « De là, précise un contributeur, on peut faire des balades ou monter en voiture sur la route des Crêtes. En milieu de semaine, on est seul, c’est magnifique ! » Pour dîner, direction Lapoutroie, à l’hôtel-restaurant le Faudé. « Le rapport quantité-qualité-prix est excellent, reprend notre lecteur. Ce sont des jeunes qui reprennent une carte des terroirs, mais revisitée à la sauce d’aujourd’hui. Ce n’est pas bruyant, contrairement au Bouton d’or, dont la salle résonne quand il y a trop de monde. Une très bonne adresse, d’habitués. » À proximité, pour les enfants : le Sentier pieds nus près du Lac Blanc.
Hôtel-restaurant du Bouton d’or, à Lapoutroie (à 1h10 de Strasbourg). Tel : 03 89 47 50 95. La chambre est à partir de 95 € et la demi pension est à 109 €. On peut réserver sur leur site.

Sur les hauteurs de la vallée de Thann, la ferme-auberge du Gresson est accessible après 1h30 à deux heures de marche. Sa terrasse est connue pour avoir une vue remarquable sur la vallée. « Une très bonne table avec des produits du terroirs et des plats typiques comme des Fleischnacka » (roulés à la viande, sur commande), note Claude, une marcheuse quinqua. Possibilité d’hébergement en chambres ou dortoir, sur place. En moyenne le prix pour une chambre pour 1 seule personne est 90€. Et c’est une auberge qui leur repas est produit chez eux.
Ferme-auberge du Gresson, à Oberbruck (Haut-Rhin). Tel : 03 89 82 00 21.

À noter encore cette adresse assez confidentielle, le ranch-auberge du Hinterberg, sur les hauteurs de Munster. « Le meilleur backeoffe que j’ai jamais mangé, assure un lecteur, dans cette toute petite auberge où l’on peut dormir à proximité du sentier des Crêtes ». Hébergement et table pour randonneurs, accessibles par un chemin de terre à 750 mètres d’altitude. Chevaux islandais sur place.
Ranch-auberge du Hinterberg, à Metzeral (1h30 de Strasbourg). Tel : 03 89 77 68 62.

En Forêt-Noire

Sur les hauteurs de Baden-Baden, Ebersteinburg est un petit village d’où partent des chemins de promenade en forêt. Dans la ruine du château, un restaurant, Die Burg Alt Eberstein, est installé dans un bâtiment restaurée de un style néogothique. La terrasse donne sur une très belle vue. Possibilité d’hébergement de standing.
Die Burg Al Eberstein, à Ebersteinburg, commune de Baden-Baden (50 minutes de Strasbourg). Contact : Kontakt@burgcafe-alteberstein.de. Tel0: +49 7221 – 7792568

En amoureux

Dans les Vosges

La Clairière est un hôtel-restaurant familial situé à La Petite Pierre, dans le Parc Naturel des Vosges du Nord, classé Réserve de la biosphère par l’Unesco. Chaque semaine un programme complet alliant bienfaits de la forêt et activités holistiques est proposé, avec yoga, qi gong, aquagym, exercices de respiration, promenades. « Un lieu superbement situé en promontoire avec accès direct à des sentiers de randonnée en forêt », note Christine, une autre lectrice. Pas très loin, les verreries de Meisenthal et Saint-Louis, ainsi que le Musée Lalique.
• Hôtel-restaurant La Clairière, à La Petite-Pierre (à 50 minutes de Strasbourg). De 135 à 225€ la nuit (sans le repas ou l’accès au spa). Tel : 03 88 71 75 00.

Le Musée Lalique de Wingen-sur-Moder à ouvert en 2011.Photo : Marie Marty / Rue89 Strasbourg

Une adresse de standing dans la vallée de la Bruche, à moins d’une heure de Strasbourg : La Cheneaudière à Colroy-La Roche. Cet établissement 4 étoiles propose des forfaits week-end (environ 300€), dans lesquels peuvent être inclus des services tels que des soins, massages, accès au spa, à la piscine, etc. Le restaurant de ce Relais & Château vaut également le détour.
Hostellerie relais et châteaux La Cheneaudière, à Colroy-le-Roche (à 55 minutes de Strasbourg). De 125 à 260€ la nuit. Tel : 03 88 97 61 64.

À découvrir aussi dans la vallée de la Bruche, l’hôtel-restaurant Julien à Fouday. « Un rapport qualité prix imbattable, note une cliente, et un spa également en cours d’extension. Il donnera sur la Bruche, mais c’est déjà super maintenant. » Attention, c’est le plus souvent pris d’assaut. Il est nécessaire de réserver très à l’avance… Deux autres adresses de charme, proposée par la même contributrice : l’Auberge Metzger à Natzwiller et son « cadre très reposant avec un accueil adorable et une cuisine superbe ». « Ou encore L’hôtel Belle vue à Saulxures, sa cuisine très inventive autour du marché et ses chambres confortables au charme incomparable et chacune différentes. »
Hôtel-restaurant Julien, à Devant-Fouday (à 1h20 minutes de Strasbourg). De 97 à 193€ la chambre (possibilité de demi-pension restaurant-spa). Tel : 03 88 97 30 09.

Christine, une contributrice, conseille vivement Le Moulin de Gundershoffen et la table Le Cygne, dans le même village, deux lieux distincts mais tenus par le même propriétaire. Le tout, « splendide, archi-romantique avec un petit sentier qui mène dans un joli village avec des maisons bleues de Hanau et un jardin aménagé par deux jardiniers esthètes… À voir aussi les Jardins de la Ferme bleue à Uttenhoffen.
• Hôtel Le Moulin, à Gundershoffen (35 minutes de Strasbourg). Forfait chambre et dîner au Cygne pour deux personnes : 300€. Tel : 03 88 07 33 30.

Également conseillé : La Source des sens à Morsbronn-les-Bains. Tel : 03 88 09 30 53.

En Forêt-Noire

Dans la même veine, côté allemand, nos lecteurs recommandent les bains mauresques de Bad Wildbad en pleine nature (au contraire des bains de Baden-Baden, qui sont en ville). Pour trouver un hébergement, il est utile de passer par l’office de tourisme de cette petite ville de Forêt-Noire.
Office de tourisme de Bal Wildbad (à 1h30 de Strasbourg) : touristik@bad-wildbad.de

Le Petit Ballon dans les Vosges Photo : Muz / FlickR / cc

Pour le folklore

Dans les Vosges

C’est l’une des très nombreuses fermes-auberges de la vallée de Munster. L’auberge du Kahlenwasen, 80 couverts et une terrasse, est accessible par la route, mais on peut s’y rendre par un chemin en se garant plus bas. Située à 1 100 mètres d’altitude, elle propose des repas marcaires traditionnels (choucroute, munster coiffé, bibalakas). Un chemin de randonnée balisé part de là vers le sommet du Petit Ballon et d’autres lieux. Un lecteur nous précise : « La vue sur la vallée vaut le coup d’œil ». Possibilité de panier repas. Pas très loin, le Musée du fromage-munster, pour les jours de mauvais temps. Question hébergement, il y a de quoi faire dans le secteur…
Ferme-auberge du Kahlenwasen, à Lutterbach-près-Munster (à 1h30 de Strasbourg). Tel : 03 89 77 32 49.

Coucous du Triberg Photo : abac077 / FlickR / cc

En Forêt-Noire

La ville de Sasbachwalden, « le pays du schnaps » précise Rémi, quinquagénaire germanophone, est remarquable par sa fontaine de schnaps mise à disposition par les distilleries. Il s’amuse : « Avec une coupelle, tu goûtes ce que tu veux et tu peux acheter ensuite une bouteille. C’est vraiment très typique et rigolo. Il y des petits hôtels pas très loin et au-dessus du village, il y a une ferme qui fait de la truite… » Hébergement et tables à retrouver sur le site de la région de Sasbachwalden.
• Contact de l’office de tourisme de la région de Sasbachwalden : info@sasbachwalden.de (à 45 minutes de Strasbourg).

Au Triberg, on trouve tout à la fois les plus hautes chutes d’eau d’Allemagne et le plus grand coucou de Forêt-Noire. Pour Pascal, un lecteur, c’est un endroit « clichés » mais « très sympa, avec la possibilité de faire des randonnées dans les chaumes, en longeant la cascade ». Gîtes et chambres d’hôtes sur les hauteurs.
• Contact de l’office de tourisme du Triberg im Schwarzwald (à 1h15 de Strasbourg) : info@triberg.de

Article vérifié et mis à jour par Tom Martin-Faber le 17 avril 2025

Faire du tourisme au quartier

Faire du tourisme au quartier

Pour passer des vacances aussi captivantes qu’enrichissantes, pas la peine de s’éloigner beaucoup de la gare… Vous voulez de l’aventure, du suspense, de l’histoire, du low-cost, de l’écologiquement correct ? Voici quelques pistes pour se concocter des circuits hors des hordes… en voyageant tout près de chez soi !

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Une Strasbourgeoise remporte 600 000$ au poker

Gaëlle Baumann
Gaëlle Baumann, lors du championnat du monde des World Series of Poker de Las Vegas. (Photo Winamax)

Hier s’est achevé le championnat du monde de poker des World Series of Poker, qui a débuté le 7 juillet à Las Vegas. Parmi les 6 600 participants, il y avait Gaëlle Baumann, une Strasbourgeoise de l’équipe Team Pro Winamax. Selon un communiqué envoyé par Winamax, Gaëlle a rejoint l’équipe il y a seulement six mois et participait pour la première fois aux championnats du monde.

Durant le tournoi, elle est parvenue à posséder le plus gros tapis (l’ensemble des jetons d’un joueur) du tournoi au cours de la deuxième journée. La Strasbourgeoise était la seule représentante française à concourir pour la demie-finale, qui s’est déroulée hier. Ils étaient dix aux portes de la finale et Gaëlle était la seule femme encore en course.

La joueuse s’est finalement arrêtée là. Mais sa performance mérite d’être soulignée. Grâce à sa dixième place, l’Alsacienne a réalisé la plus belle performance féminine des World Series of Poker depuis 17 ans, en remportant au total 590 422$. Pas mal.

Un million de pages vues sur Rue89 Strasbourg !

Un million de pages vues sur Rue89 Strasbourg !

(Photo Laurence Vagner / FlickR / CC)

Dans la nuit de lundi à mardi, notre compteur de visites a pris une nouvelle dimension. Il est sorti des six chiffres qui l’enserraient pour joyeusement s’en ajouter un septième. En d’autres termes, peut-être plus clairs, Rue89 Strasbourg a dépassé le million de pages vues. L’occasion de faire le point sur votre média favori.

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L’Université de Strasbourg accusée de pratiquer des frais d’inscriptions illégaux par l’Unef

La procédure d'inscription au Master 2 Juriste Conseil d'entreprise ne plaît pas à l'UNEF. L'Université de Strasbourg figure dans le haut du classement des établissements hors-la-loi.
L'Unef a pointé l'illégalité de l'inscription au Master 2 Juriste et Conseil d'entreprise à la faculté de droit de Strasbourg. (Photo: Archi-Strasbourg)

L’Union nationale des étudiants de France (Unef) a publié les résultats de son enquête sur les frais d’inscriptions auprès des écoles et universités françaises. Trente établissements seraient « dans l’illégalité en matière de droits d’inscriptions », dont l’Université de Strasbourg. La direction de l’université dément.

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Une pétition pour maintenir le consulat d’Allemagne à Strasbourg

Un collectif franco-allemand a lancé une pétition pour maintenir le consulat d’Allemagne à Strasbourg. Ulrich Hochschild, son locataire depuis le 5 septembre 2011, en avait annoncé la fermeture d’ici 2014, « dans le cadre d’une politique de redéploiement de son réseau diplomatique à l’étranger. »

L’initiative a été prise par Vincent Gouvion, président de l’assocation « Le Cercle Daniel Riot » ; Kai Littmann, rédacteur en chef du site d’informations franco-allemand « 3 Rives » et Maximilian Erlmeier, président du think tank Freiburger Denkfabrik. Ce collectif déplore la « disparition d’un symbole ».

« Strasbourg et l’Allemagne, l’Alsace et le Baden-Württemberg ont une vielle histoire commune, cette ponction diplomatique serait irréparable dans le cœur de vos compatriotes frontaliers et des Français. La dynamique est en route, la paix pérenne. Ce sont dorénavant des sujets constructifs qui sont abordés, il serait blessant que l’activité dynamique du Consulat Général d’Allemagne de Strasbourg s’éteigne ou se voit réduite à une fonction fantomatique. »

La décision de fermer le consulat avait surpris bon nombre d’hommes politiques de part et d’autre du Rhin. Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg, avait publié un communiqué sur son blog avant d’adresser une lettre à Angela Merkel. Le Ministre-Président du Baden-Württemberg Winfried Kretschmann, était également venu se joindre au mouvement de protestation. La disparition du consulat concernerait plus de 50 000 ressortissants allemands.

Marcel Hibert, chimiste strasbourgeois, cherche la molécule de l’amour

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A ECOUTER SUR

FRANCE INTER

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La raffinerie de Reichstett sur le point d’être vendue en plusieurs lots

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A LIRE SUR

LES ECHOS.FR

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Une journée avec Noël, croque-mort nouvelle génération

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Noël Kutz, Sundgauvien de 33 ans, travaille chez PFG depuis 2 ans (Photo David Rodrigues)

C’est un métier mal connu, sur lequel circulent autant de légendes que de blagues macabres. Et pourtant, chaque famille a recours à ce service tôt ou tard. Rue89 Strasbourg s’est plongé dans le quotidien du personnel des Pompes funèbres générales, de la boutique au funérarium, de l’église au crématorium. A la découverte d’une profession qui change, où les croque-morts sont devenus des « conseillers funéraires », à la fois soutiens psychologiques, commerciaux et organisateurs d’événements.

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#pompes funèbres générales

Feu d’artifice du 14 juillet : les photos et vidéos des Strasbourgeois

Feu d’artifice du 14 juillet : les photos et vidéos des Strasbourgeois

Plusieurs Strasbourgeois ont mis en ligne des vidéos du feu d’artifice du 14 juillet. Pour ceux qui l’ont raté, voici une séance de rattrapage, au sec et avec plusieurs angles.

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Le vrai 14 Juillet : 1790, la Fête de la Fédération

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A LIRE SUR

LETTRES DE STRASBOURG

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Le feu d’artifice ne sera plus jamais tiré du barrage Vauban

Le feu d’artifice ne sera plus jamais tiré du barrage Vauban

Les échafaudages et les bâches devraient être retirés d'ici de l'été (Photo David Rodrigues)

Depuis deux ans, le barrage Vauban, édifice construit au XVIIème siècle, qui relie le Musée d’art moderne et contemporain à l’Hôtel du Département, est fermé au public et recouvert d’échafaudages. Rénové et mis aux normes, il devrait rouvrir fin septembre 2012. En revanche, finis les feux d’artifices du 14 juillet tirés du barrage et les rendez-vous nocturnes en amoureux sur la terrasse…

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Où voir le feu d’artifice dimanche soir ?

Où voir le feu d’artifice dimanche soir ?

Feu d’artifice (Photo Cédric Lafleur / FlickR / CC)

Le feu d’artifice sera tiré depuis le parc de l’Etoile dimanche 14 juillet à partir de 22h30. Pour le voir, il faut s’installer aux abords, soit sur la place de la Bourse, sur le parvis de la Médiathèque Malraux, ou sur les quais.

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Les derniers salariés d’Iconoval laissés dans le noir

Les derniers salariés d’Iconoval laissés dans le noir

Les salariés d’Iconoval, association de développement économique en cours de fermeture, ont écrit aux membres de leur conseil d’administration pour leur faire part de leur désarroi. En effet, selon cet email, les comptes de l’association sont dans le rouge et les salaires des quatre employés restant ne sont plus payés. Ils attendent le paiement du reste de leur subvention de fonctionnement par le Conseil régional d’Alsace de 460 000€. Les tranches de 115 000€ du 1er avril et du 1er juillet, n’ont pas été versées.

La structure devant fermer au cours de cet été, les cinq employés ont l’impression d’être abandonnés. Ils n’ont déjà plus de directeur depuis le 2 juillet et les agents de la Région Alsace « refusent de répondre à nos questions », écrivent-ils dans l’email à leurs administrateurs :

« La situation financière d’Iconoval est critique. La situation personnelle de chacun d’entre nous l’est tout autant. Nous avons tous des loyers, des remboursements d’emprunt,des frais de scolarité, de centre de vacances, des mensualités d’impôts, des frais de bouches et autres dépenses mensuelles à assurer à chaque fin de mois. Juillet ne déroge pas à la règle, ni les mois qui suivent. Cette situation est inadmissible et relève d’une irrégularité au regard du droit du travail. »

François Bouchard, directeur général des services du Conseil régional, veut rassurer :

« Tout va être réglé dans les jours qui viennent. Le président Philippe Richert a envoyé ce vendredi une lettre à ces employés pour les assurer du paiement de la subvention et de leurs indemnités de licenciement. »

Que le dernier qui part n’oublie pas d’éteindre la lumière.

(Article mis à jour le 18 juillet à 15h, correction de nombre de salariés)

#François Bouchard

Un portail « open data » régional en avril 2013

Un portail « open data » régional en avril 2013

Le logo "officiel" du gouvernement (CC)

La Région Alsace va mettre en ligne un portail « open data », à la manière du site data.gouv.fr en France. Le principe a été voté lors de la commission permanente du Conseil régional vendredi matin, une enveloppe de 264 000€ a été allouée lancer l’opération.

L’open data est un système de partage et d’échanges des données brutes, qui peuvent aller d’horaires de train aux allocations budgétaires. L’idée est de proposer ces données dans un format exploitable, afin que des projets puissent s’en servir pour les croiser avec d’autres données et produire ainsi des applications. Par exemple, en croisant les horaires de la CTS et de la SNCF, une application pourrait permettre d’optimiser les correspondances entre ces réseaux différents. C’est un peu ce que propose le site Vialsace d’ailleurs.

La Région va d’abord mettre en ligne ses propres données, sur la formation professionnelle (pour une cartographie des formations par exemple), les transports, les lycées (aura-t-on tous les emplois du temps, les absences des élèves ?), l’apprentissage, l’aide économique (pour un suivi des subventions par exemple), le budget… Le site sera accessible à l’adresse opendata.alsace.eu dès avril 2013.

La Région promet que les données publiées seront « utilisables » et « vivantes », c’est à dire mises à jour par les services administratifs eux-mêmes. L’open data est certes une belle idée, mais il y a plusieurs niveaux de mises en oeuvre concrète, qui vont de la simple publication d’un document à la mise en ligne de bases de données actualisées. Il semble que le Conseil régional ait opté pour une plate-forme ambitieuse, le Conseil régional voudrait que l’Alsace soit une région pilote sur ce sujet.

Après le lancement initial, la Région devrait permettre l’intégration d’autres données à ce portail, fournies par d’autres collectivités locales ou d’autres producteurs de données.