Photo : Camille Balzinger / Rue89 Strasbourg
Photo : Guillaume Krempp / Rue89 Strasbourg / cc
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On verra la suite donnée par le procureur, car on ne peut pas réfuter a priori les propos de l’actuelle présidente par défaut Soumia Yahyaoui, sur sa bonne foi.
Voir plusEn effet la validation « les yeux fermés », et donc à l’unanimité, des comptes lors des assemblées générales est (hélas!) un grand classique de la vie associative. Des CSC aux joueurs de pétanque ! Le plus souvent les adhérentes, et bien souvent les administrateurs, vérificateurs aux comptes compris, ne sont pas en mesure de lire ni un compte de résultat ni un bilan, et rares sont les trésoriers d’associations capables de résumer de façon intelligible aux membres votant, la présentation des comptes.
Ce qui interpelle plus dans votre article est la responsabilité des experts comptables et encore plus celle des commissaires aux comptes, obligatoires vu les montants d’argent publics concernés. Ont-ils eu des documents comptables et des informations falsifiés qui les ont convaincus de valider les bilans des exercices comptables ou y-a-t-il eu négligence de leur part? Idem pour les pouvoirs publics financeurs destinataires chaque année des bilans annuels. S’ils ont eu du CSC des documents sincères y-a-t-il eu négligence aussi?
Il est curieux que ce double contrôle, autorité de tutelle et commissariat aux comptes n’ait pas fonctionné. Il faudra donc attendre les résultats de l’enquête voire le verdict du jugement si le procureur trouvait opportun d’entamer des poursuites judiciaires.
D’accord avec vous Mr Sibieude ( avec ou sans accent)
Place au travail du procureur sous la protection symbolique de Mathias Grunenwald *( domiciliation du CSC) dont on espère que » Le Christ Outragé » ne le sera pas une nouvelle foie
« Au xxie siècle, les experts attribuent avec certitude à Matthias Grünewald dix œuvres dont plusieurs polyptyques et 35 dessins, répartis dans des collections européennes et américaines. Sa première toile incontestée est l’émouvant Christ outragé, datant de 1503, conservé à la Alte Pinakothek de Munich, qui est très proche de la peinture du gothique tardif dans la vallée du Rhin.
Son œuvre la plus célèbre est le Retable d’Issenheim, pièce maîtresse des collections du Musée Unterlinden de Colmar. »
Voir plushttps://fr.wikipedia.org/wiki/Matthias_Grnewald
Pas accès à l’intégralité de l’article, mais je dirais que c’est une grande classique dans le monde associatif, où ce sont les salariés qui, de facto, le plus souvent prennent le pouvoir aux dépens des adhérents et des membres du bureau.
Voir plusOn verra la suite donnée par le procureur, car on ne peut pas réfuter a priori les propos de l’actuelle présidente par défaut Soumia Yahyaoui, sur sa bonne foi.
En effet la validation « les yeux fermés », et donc à l’unanimité, des comptes lors des assemblées générales est (hélas!) un grand classique de la vie associative. Des CSC aux joueurs de pétanque ! Le plus souvent les adhérentes, et bien souvent les administrateurs, vérificateurs aux comptes compris, ne sont pas en mesure de lire ni un compte de résultat ni un bilan, et rares sont les trésoriers d’associations capables de résumer de façon intelligible aux membres votant, la présentation des comptes.
Ce qui interpelle plus dans votre article est la responsabilité des experts comptables et encore plus celle des commissaires aux comptes, obligatoires vu les montants d’argent publics concernés. Ont-ils eu des documents comptables et des informations falsifiés qui les ont convaincus de valider les bilans des exercices comptables ou y-a-t-il eu négligence de leur part? Idem pour les pouvoirs publics financeurs destinataires chaque année des bilans annuels. S’ils ont eu du CSC des documents sincères y-a-t-il eu négligence aussi?
Il est curieux que ce double contrôle, autorité de tutelle et commissariat aux comptes n’ait pas fonctionné. Il faudra donc attendre les résultats de l’enquête voire le verdict du jugement si le procureur trouvait opportun d’entamer des poursuites judiciaires.
D’accord avec vous Mr Sibieude ( avec ou sans accent)
Place au travail du procureur sous la protection symbolique de Mathias Grunenwald *( domiciliation du CSC) dont on espère que » Le Christ Outragé » ne le sera pas une nouvelle foie
« Au xxie siècle, les experts attribuent avec certitude à Matthias Grünewald dix œuvres dont plusieurs polyptyques et 35 dessins, répartis dans des collections européennes et américaines. Sa première toile incontestée est l’émouvant Christ outragé, datant de 1503, conservé à la Alte Pinakothek de Munich, qui est très proche de la peinture du gothique tardif dans la vallée du Rhin.
Son œuvre la plus célèbre est le Retable d’Issenheim, pièce maîtresse des collections du Musée Unterlinden de Colmar. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Matthias_Grnewald
Pas accès à l’intégralité de l’article, mais je dirais que c’est une grande classique dans le monde associatif, où ce sont les salariés qui, de facto, le plus souvent prennent le pouvoir aux dépens des adhérents et des membres du bureau.