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Hôpitaux universitaires de Strasbourg
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Dernières publications
Photo : Jérémie Rumpier
Fermeture de lits : le lourd tribut de la réanimation dans le Grand Est
Entre 2013 et 2018, la région a perdu 39 lits de réanimation sur 534, selon la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. C'est la région qui a subi le plus de fermetures de lits de réanimation ces dernières années.
Photo : Jérémie Rumpler
Photo : Ph1oto wikimedia commons/ cc
Photo : "CHU de Strasbourg : l'art du camouflage" / Capture d'écran
La trésorerie des Hôpitaux de Strasbourg pas pressée de rembourser les patients
Chaque jour, la trésorerie des Hôpitaux universitaires de Strasbourg doit rembourser des usagers après des erreurs de paiement. Mais des mesures d'économie ont fait croître le nombre de dossiers en souffrance. Pire : les petites sommes créditrices ne sont plus remboursées aux usagers.
Photo : Google Maps
Affaire Naomi Musenga : les conflits d’intérêts de l’expert médico-légal
Le procureur de la République Strasbourg a confié l’expertise médico-légale de la mort de Naomi Musenga à un médecin lié aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg. Ce conflit d'intérêt jette un doute sur la conclusion rendue par l’expert, selon laquelle la jeune femme de 22 ans serait morte d’une intoxication au paracétamol.
Photo : Dessin Ariane Pinel
Affaire Naomi Musenga : les failles de la thèse d’une intoxication au paracétamol
Des éléments du dossier médical et du rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) à propos du décès de Naomi Musenga démontrent que l’intoxication au paracétamol n’est pas possible. C’est pourtant encore la thèse officielle retenue à ce jour pour expliquer la mort de la jeune femme de 22 ans, en décembre 2017.
Photo : PF
Photo : dessin Ariane Pinel
Un an après la mort de Naomi Musenga, un rassemblement pour obtenir des réponses
Samedi 29 décembre, le collectif "Justice pour Naomi Musenga" organise un rassemblement à 16h, place de l’Hôpital à Strasbourg, un an jour pour jour après la mort de la jeune femme de 22 ans dont l’appel au Samu n’avait pas été pris en compte.
Photo : capture d'écran
Les suites de l’affaire Naomi interrogées à l’Assemblée nationale
Avec le temps, chaque député trouve sa manière de se démarquer. Interventions en hémicycle, travail en commission, visites de terrain, interpellations médiatiques via des tribunes, des rencontres avec des professionnels … Thierry Michels, plutôt discret à ses débuts, semble prendre goût pour les questions orales au gouvernement. Après celle sur le Bastion social, qui n'a débouché sur …
Photo : Pierre France / Rue89 Strasbourg
Affaire Naomi : la conséquence d’une « maltraitance institutionnelle »
Médecin urgentiste et élu à la Ville et à l'Eurométropole de Strasbourg, Syamak Agha Babaei réagit à l'affaire Naomi, cette jeune strasbourgeoise décédée suite à une prise en charge tardive par le Samu. S'il juge "en rien acceptable" l'attitude des deux opératrices, il estime que les souffrances des patientes et patients sont aussi "un miroir" de celles des soignants, conséquence du manque de moyens dans les hôpitaux publics.