
Géocaching : la chasse au trésor nouvelle génération


Le design alsacien s’invite sur les terrasses et dans les jardins


Alix Videlier et Malo Mangin ont reçu le prix du jury pour leur salon alsacien 220 Vogesen au concours « Design châtaigner » organisé par le Parc naturel des Vosges du Nord. Après une courte exposition dans les jardins des Tuileries à Paris cet été, ils débutent en septembre la production du salon, en série limitée.
La Foire européenne invite le Japon en septembre

Comme chaque année, la Foire Européenne et son millier d’exposants envahit le Wacken début septembre. Après l’Espagne, c’est le Japon qui est mis à l’honneur cette année à Strasbourg pour la 80e édition. Le pays invité reçoit un hall dédié et plusieurs manifestations autour du Japon seront proposées. On espère que l’organisation saura mettre en avant le Japon innovant, sa technologie et sa culture cyberpunk plutôt que ses éternelles traditions. Des robots géants plutôt que des kimonos, quoi ! L’affiche permet d’être optimiste.
La Foire Européenne, c’est chaque année plus de 200 000 visiteurs, 1200 exposants, et selon le communiqué de la Foire, 20 millions d’euros de chiffre d’affaire… Une belle machine.
Vidéo de promotion de la Foire (par Strasbourg Evènements)

Y aller
Foire européenne de Strasbourg, du 7 au 17 septembre, au Parc des expositions, quartier Wacken, bd de Dresde à Strasbourg. Foireurop.com
Vélo à Strasbourg : le chic c’est d’être soi


Du hollandais vintage au fixie ultrabranché, en passant par le cargo utilitaire : la tribu des vélos ne cesse de s’agrandir à Strasbourg. Personnalisés à outrace, en fonction des besoins et des envies de leurs propriétaires, les biclous ont même leurs accessoires fashion dans les magasins. Pour éviter d’être une simple victime de la mode, une seule solution : mettre les mains dans le cambouis. En selle !
Iconoval : Alain Tubiana contre-attaque


Ce mardi matin, Alain Tubiana, ancien directeur de l’agence de développement économique Iconoval, était représenté devant le conseil des prud’hommes à Strasbourg. Il assigne son ancien employeur, Iconoval, en référé pour ne pas lui avoir versé les indemnités dues à la suite de son licenciement. Le versement de cette somme, 146 927,07€ tout de même, est à l’origine d’un conflit entre la Région Alsace, instigateur et premier financeur d’Iconoval, et les anciens salariés.
Pour le ministère de l’égalité des territoires et du logement, Strasbourg a une « partie française »

Le ministère de l’égalité des territoires et du logement a publié sur son site la liste des communes qui sont concernées par le nouveau dispositif d’encadrement des loyers. Comme nous l’annoncions dès le 4 juillet, les logements de l’agglomération de Strasbourg sont concernés par ce dispositif. Toute l’agglomération ? Le ministère précise que pour Strasbourg, seule la « partie française » est concernée…
On invite l’auteur de cette distinction ou la ministre de l’égalité des territoires et du logement Cécile Duflot à venir nous montrer exactement ce qu’ils entendent par « partie française » de Strasbourg, ou à défaut de nous indiquer où se situent la ligne de démarcation et le check-point charlie… Sur la passerelle Mimram ?
Note: le ministère du logement a reconnu et rectifié l’erreur dans l’après midi. En cause, l’emploi de listes établies par l’Insee et qui prennent en compte l’existence d’aires urbaines transfrontalieres, comme à Lille par exemple.
Vers un fournisseur d’accès à l’Internet alsacien et associatif
Si aujourd’hui tout le monde ou presque utilise l’un des grands fournisseurs d’accès à internet (FAI) commerciaux pour se connecter sur sur le web, de petits fournisseurs locaux font également leur apparition. L’association Alsace réseau neutre (ARN), créée il y a deux mois, a l’ambition de créer un FAI alsacien qui assurerait la neutralité du net et l’auto-hébergement. A travers sa propre box, il proposera les mêmes services que les géants qui se partagent le marché, à l’exception de la télévision par internet.
Si ARN ne compte pas concurrencer Orange ou Bouygues Télécom, l’association est persuadée qu’il faut multiplier les FAI locaux :
« Les grands fournisseurs posent aujourd’hui plusieurs problèmes. Ils ne respectent pas la neutralité du net et n’ont aucun problème a donner des informations sur leurs clients à ceux qui les demandent, comme un agent de police, sans savoir s’ils ont les autorisations pour obtenir de telles informations. ARN demandera ces autorisations avant de divulguer les infos de ses consommateurs. »
Mais pour l’instant, rien n’est encore prêt, l’association devrait commencer à communiquer d’ici septembre ou octobre. En attendant, les intéressés peuvent toujours s’inscrire sur la mailing list pour se tenir au courant de l’avancement du projet.
Pour aller plus loin
Le site de l’association : http://arn-fai.net
Sur Owni : La neutralité cachée d’Internet
Le Neuhof à nouveau prioritaire, comme depuis quarante ans


Parmi les quinze zones identifiées en France comme « prioritaires » pour l’action de l’Etat contre la délinquance figure… le Neuhof. Pourtant, ce quartier de Strasbourg a bénéficié depuis plus d’une dizaine d’années d’un programme de rénovation sans précédent et ne souffre plus la comparaison avec les Tarterêts à Corbeil-Essonne ou les quartiers nord de Marseille. Mais le trafic de drogue continue d’alimenter l’économie souterraine du quartier et des bandes plus structurées ont fait leur apparition.
Racing : quelques idées pour développer la culture club


Encore quelques jours, et c’est la reprise. En attendant, le Racing poursuit sa préparation et enquille les victoires en matchs amicaux. La trêve, c’est l’occasion de réfléchir un peu. Au-delà de ses résultats sportifs, il me semble surtout important de penser le Racing en tant que club qui valorise une identité singulière et qui défend ardemment la culture supporters.
Le jardin partagé du quartier gare


Le jardin partagé du quartier gare vous permet de jardiner en plein centre ville et rencontrer vos voisins. N’hésitez pas à vous rendre aux permanences de l’association JPQG (Jardin Partagé du Quartier Gare) qui se déroulent au jardin chaque dimanche à 18 heures!
Contest de skate samedi à Rivétoile


Strasbourg prend un air californien ce week-end grâce aux riders venus en nombre profiter de l’installation provisoire, jusqu’à dimanche inclu, d’une rampe à spine de 9 mètres le long des berges de Rivétoile. Un contest gratuit et ouvert à tous est organisé samedi de 15h à 20h. Du matériel est prêté aux riders par l’association Nouvelle Ligne.
Où et comment manger végétarien (et végétalien) à Strasbourg

Au pays de la tarte flambée et de la choucroute garnie, les végétariens, végétaliens, crudivores ou adeptes de la cuisine macrobiotique ne restent pas pour autant cloîtrés chez eux à grignoter des légumes-racines. Ils ont eux tout à fait leur place à Strasbourg, grâce à quelques restaurants et une tripotée de magasins bio ou asiatiques qui permettent de faire une croix sur les protéines carnées sans pour autant mourir de faim.
Les restaurants végétariens…
Il y a quatre ans, on ne comptait que deux restaurants « vegi » à Strasbourg. Mais ces dernières années l’offre pour végétariens (c’est à dire ceux qui ne mangent aucun plat à base de viande ou de poisson, mais consomment des œufs, du lait et du fromage) est revenue sur le devant de la scène, suivant la tendance générale de recherche de bien-être et de bons produits.
Le restaurant végétarien Le Potiron, rue Sainte-Madeleine à la frontière entre Krutenau et quartier suisse, propose tels des gratins et des pizzas blanches ou rouges, des lasagnes ou des pâtes, des salades, etc. Sur une thématique plutôt méditerranéenne, Le Potiron est connu pour ses assiettes généreuses, ses jus bio et ses desserts italiens.
• Le Potiron, 24 rue Sainte-Madeleine à Strasbourg. Tel : 03 88 35 49 86. Du lundi au samedi 12h-14h et 19h-22h.

Bistro et chocolat le restaurant de référence pour les végétariens à Strasbourg. Présent depuis une dizaine d’années dans la capitale alsacienne, il allie restaurant et salon de thé l’après-midi. En plus des plats du jour, le restaurant propose un large choix de plats et de boissons chocolatées, une bonne carte de salés et même des brunch, des goûters et des petits déjeuners. Tout cela garanti sans viande, bien sûr.
• Bistrot et chocolat, 8 rue de la Râpe (secteur cathédrale). Tel : 09 62 21 26 53. Du lundi au jeudi de 11h à 19h. Le vendredi de 11h à 21h. Le samedi de 10h à 21h et le dimanche de 10h à 19h.
Son patron, Yoann Abitbol, expliquait d’ailleurs il y a cinq ans:
« Pour amener les gens à manger végétarien, il faut du peps et du sourire dans la cuisine ! Il faut sortir de l’image des graines germées et des légumes bouillis ! La cuisine française est entièrement construite autour de la viande ou du poisson, c’est pourquoi on prend souvent à la cuisine étrangère ou bien on bouscule les codes, avec par exemple un burger végétarien ou une gaufre salée… »
Un message bien compris par les jeunes restaurateurs strasbourgeois.

Notamment par les gérants du Snack Vegi, ouvert il y a trois mois. Situé au début de la Grand Rue, ce restaurant 100% Thaïlandais-Végétarien propose Phad Thai au tofu, burger vegi, salade mixte, beignets de légumes, sandwich falafel ou encore houmous et nems végétariens. L’intérieur étant tout petit, la vente à emporter est à privilégiée.
•Snack Vegi – Manger Végétarien (Page Facebook) 10 Grand Rue à Strasbourg. Tél : 09 80 87 29 78. Du lundi au vendredi 11h-15h et 18h-21. Le samedi de 11h à 19h.
Une pizza sans salami, ça peut être excellent. Si certains en doutent encore, qu’ils aillent faire un tour chez Pizz’arÔme. Damien, le pizzaïolo, fera changer d’avis les plus sceptiques. Courgettes / Coulommiers / Roquette, Tomates séchées / Mozzarella / Basilic ou encore Pommes de terre / Crème de truffe, les recettes sont originales et changent régulièrement. Autre originalité: Les pizzas s’achètent en part. Comptez tout de même 5,5 € pour une boisson et une part et 8,5 € pour deux parts une boisson.
•Pizz’arÔme (Page Facebook) – 15, rue de la Croix à Strasbourg. Tél : 09 52 45 01 23. Du lundi au mercredi de 12h à 16h et du jeudi au samedi de 12h à 21h.
… Et végé-friendly

Peu de restaurants barrent leur porte à la viande, mais nombreux sont ceux qui proposent un ou plusieurs plats steak free. C’est le cas par exemple d’Une Fleur des champs, à deux pas de la place Broglie, qui met en avant au quotidien un menu 100% végétarien et un autre dont le plat principal est construit autour d’un poisson. La cuisine du lieu, élaborée sur des bases de macrobiotique (équilibre des « forces » des aliments tout au long du repas, cuisson des végétaux, etc.) est colorée et goûteuse. Le cadre n’est pas dénué de charme, même si la courette à l’abri de la circulation vaut un peu plus le détour que la salle. Une opération de relooking est d’ailleurs prévue pour bientôt.
• Une Fleur des champs, 4 Rue Charpentiers à Strasbourg. Tel : 03 90 23 60 60. Ouvert du mardi au samedi de 12h-13h45 et 19h-21h30 les mardis et mecredis et 19h-22h les vendredis et samedis.
Recommandés par des végétariens, les restaurants libanais sont connus pour leurs plats riches en légumineuses, leur couscous végétal, leur purée de pois chiches, leurs lentilles, falafel, taboulé à base de persil plat, blé, beignets ou salades aux légumes variés. Quelques adresses sortent du lot : Le Tarbouche, 22 rue de la Krutenau, Au Cèdre, 1 rue du Saint-Gothard (toujours à la Krutenau), Au Beyrouth, 39 route du Polygone ou Le Sultan, 7 Passage de la Pomme de pin (entre la place Kléber et la place des Etudiants).
Les restaurants indiens, ambassadeurs d’une gastronomie traditionnellement végétarienne, ont pour la plupart adapté leur carte aux goûts occidentaux, en proposant de la viande… à toutes les sauces ! Les restaurants « français » eux ont souvent un ou plusieurs plats végétariens à la carte, et notamment des salades, des pizzas, des quiches, etc. On peut relever par exemple l’effort fait par La Maison Kammerzell, place de la Cathédrale, ou par Secret de table, rue du 22-Novembre [des adresses recommandées par le Copra, Collectif pour le respect de l’animal, basé à Strasbourg]. Certains restaurants iraniens, coréens ou chinois sont également fréquentés par les végétariens. Aux menus, soupes et riz parfumés, tofu bien sûr, mais aussi nouilles aux légumes, raviolis ou boulettes…
Les vegans à la conquête de Strasbourg
A ces restaurants végétariens ou végé friendly, s’ajoutent ceux 100% végan. Définit comme un « mode de vie qui exclut toute utilisation de produits animaux (viande, laitages, cuir) », le véganisme va plus loin que le « simple » régime alimentaire végétarien. Plus contraignant, ses adeptes ont pourtant augmenté ces dernières années. Strasbourg n’échappe pas à cette vague végan et quelques lieux sont désormais consacrés au véganisme.

Les pionniers en matière de véganisme dans la capitale alsacienne s’appellent Cédric Mincato & Elena Reckewell. En Octobre 2015, ce jeune couple franco-allemand ouvre Velicious, le premier site de restauration végan strasbourgeois. Et ça marche. Le restaurant de 38 couverts fait souvent salle comble, le midi comme le soir. À tel point que les deux jeunes restaurateurs ouvriront fin juillet « Velicious Burger « , un restaurant de fast-food 100% végétal situé Grand Rue.
• Velicious (Page Facebook) 43 rue Geiler à Strasbourg. Du lundi au samedi de midi à 22h.

Thomas Ries et ses associés Saïd Zerouali et Jean-Louis Vaquin se sont lancés dans la restauration végane (et sans gluten) il y a un an. Le 9 juillet 2016, L’Eden sans Gluten accueillait ses premiers clients place Arnold. Convaincus que « la cuisine végétale, sans gluten et bio, a beaucoup à offrir », les trois hommes concoctent des plats afin que chacun trouve son bonheur. Tartines, pizzas, ou encore salades et de nombreux desserts, il y en a pour tous les goûts, des initiés aux simples curieux.
• L’Eden sans Gluten 6 place Arnold à Strabourg. Du lundi au samedi 11h30-15h et 19h-23h. Le dimanche de 19h à 23h.

A noter également, Chez Veg’anne (que Rue89Strasbourg avait déjà évoqué ici), le foodtruck 100% végan d’Anne Bavay. Chaque semaine, cette ancienne responsable adjointe d’un magasin bio se rend dans les villages bas-rhinois d’Oberhaslach, de Lutzelhouse et de Dorlisheim. Elle dispose également de quelques emplacements à Strasbourg, devant les square Trivoli et Louise Weiss ainsi que Rue de l’industrie à Illkirch.
• Chez Veg’anne (Page Facebook à consulter pour les horaires et emplacements)
Les épiceries bio ou étrangères
Alors, bien sûr, on ne déjeune pas tous les jours au restaurant. Pour se constituer des menus sans viande, voire sans produits d’origine animale (végétalien) comme le lait ou le beurre, mais équilibré, il faut d’abord se fournir en fruits et légumes, « de préférence dans une Amap, note Luc Walter, pour avoir du bio à un bon prix et des produits locaux et de saison ». Reste ensuite à se procurer des céréales, des légumineuses et, pour les crudivores, en super-aliments. Mais où ? D’abord dans des épiceries bio, où le choix est large mais la note salée, ainsi que dans des épiceries étrangères. Indiens et asiatiques proposent effectivement un large choix d’ingrédients exotiques très recherchés par ces consommateurs non-conventionnels.
Graines à faire germer, tofu sous vide, rayon viande réduit à sa portion congrue… Chez Vivre bio et Naturalia (la filiale de Monoprix spécialisée dans les produits bio), on ne s’affiche pas comme végétariens, mais les carnivores ne sont pas les mieux servis. D’autant que chez Vivre bio, le magasin de Strasbourg n’a pas de stand boucherie. Mais si, chez les uns comme chez les autres, on trouve là aussi bien de la cosmétique que des produits d’entretien écologique, les végétariens auront plus de choix pour se concocter des petits plats savoureux que dans un magasin classique.
• Vivre bio, 2 rue Adolphe-Seyboth à Strasbourg (Petite France). Tel : 03 88 32 68 53. Mais aussi à Dorlisheim, Vendenheim et Marlenheim.
• Naturalia, cinq enseignes à Strasbourg. (Austerlitz, Marché aux grains, Victoire, Finkmatt, Rotterdam). Mais auussi à Schiltigheim et Illkirsch.

Mais pour Camille Lamotte, ces épiceries bio ne suffisent plus. Végane depuis trois ans, elle se plaignait du manque de produits dans les rayons des magasins strasbourgeois. Pour remédier à cette maigre offre, elle décide de lancer boutique entièrement dédiée à un mode de vie végan, qui vient tout juste d’ouvrir. Située dans l’écoquartier du Danube, L’Ere végane se compose d’une partie épicerie mais aussi d’un rayon cosmétique et hygiène, d’un espace restauration rapide et à emporter, d’un espace enfants et même d’un espace ateliers pratiques.
• L’Ere végane (Page Facebook), 20 rue de l’Elbe à Strabourg.
Pour « compenser » la perte des protéines animales, quand on passe d’une alimentation qui inclut la viande (bœuf, mouton, poulet…) à une alimentation qui en est dépourvue, il est nécessaire de changer ses habitudes et de se « rabattre », occasionnellement du moins, sur des produits tels que le tofu (du soja mariné dont on a extrait le lait, ensuite bouilli, caillé au vinaigre et pressé), le seitan (un aliment fabriqué à base de protéines de blé, le gluten) et surtout les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots secs…). Ces produits, parfois chers dans les magasins bio, sont disponibles dans certaines épiceries étrangères à des prix défiant souvent très compétitifs.

C’est le cas chez Tofu Hong, à deux pas du centre-ville et du Centre administratif, une petite épicerie asiatique qui ne paie pas de mine, qui nous a été recommandée par Luc Walter, secrétaire de l’association Animalsace, association de défense des animaux et de promotion du végétarisme en Alsace. Pourtant, depuis vingt-trois ans, c’est là qu’est produite une bonne partie du tofu frais que l’on mange par exemple dans les soupes miso des restaurants japonais. Pour 250 grammes de tofu – assez pour trois à cinq personnes, dans une soupe ou grillé sur des pâtes – comptez moins d’un euro. Il existe en version nature ou poireaux-champignons, bio ou non. Il se conserve une semaine au frigo, d’abord à sec, puis trempé dans l’eau au bout de trois jours. Pour les écolos, bon à savoir : le soja utilisé ne vient pas du continent américain comme souvent, mais d’Alsace !
• Tofu Hong, 34 rue de la 1ère Armée à Strasbourg. Tel : 03 88 35 37 34.
Si les épiceries asiatiques proposent de nombreux produits recherchés par les végétariens, comme des algues, des nems et des sauces végétariennes, ou encore des pâtes de riz ou de blé, les épiceries indiennes ont aussi leur intérêt. Et notamment par leur grand choix de légumineuses et de riz là encore, leurs épices et leurs plats préparés végétariens (reconnaissables au logo végétarien international, un rond vert dans un carré vert), aubergines en sauce, boulettes de lentilles au yaourt…

Et en grandes surfaces…
Les grandes surfaces proposent de plus en plus souvent des rayons « bio » où l’on trouve et du bio et ce qui se rapproche des produits que recherchent les végétariens, lentilles, haricots et autres levures. On peut aussi trouver quelques références originales au rayon « cuisines du mondes », mais pas forcément moins cher que dans les épiceries étrangères en ville. Autres adresses : Satoriz à Vendenheim ou le réseau BioCoop. Certains lecteurs recommandent d’aller faire ses courses côté allemand, « où ils ont 20 ans d’avance sur nous côté alimentation », note l’un d’eux. Ce dernier fréquente régulièrement Edeka, mais aussi les hard discounters comme Aldi, ou DM.




