urbanisme
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Dernières publications
Harcèlement, erreurs de conception… Les rues strasbourgeoises à l’épreuve de l’égalité femmes-hommes
Un détour pour éviter un groupe d’hommes, des installations sportives pas toujours accessibles, des toilettes sans poubelle… Autant de petits riens qui mis bout à bout, rendent l’espace public moins accessible pour les femmes. Enquête à Strasbourg sur ces inégalités actées au point d’en être invisibles et sur les embryons de solution.
Photo : visuel Yam Studio /
Face au Parlement, Osmose : des bureaux à prendre ou à laisser par les institutions européennes
On appelait ça le "lot E" du quartier d'affaires Archipel, il faudra désormais parler d'Osmose : un bâtiment de 15 000 m² de bureaux, réservés aux institutions européennes, entre les locaux d'Adidas et du Parlement européen. Un second immeuble, plus imposant, de 40 000 m² doit être construit dans un second temps, une fois le premier achevé. Les collectivités …
Photo : doc remis
Quand la gare de Strasbourg avait sa terrasse, son cinéma et ses trains de nuit
Fin des années 60, en gare de Strasbourg, le voyageur pouvait boire une bière en terrasse, et regarder un film avant de prendre un train de nuit pour Berlin. Aujourd'hui, la station ferroviaire doit devenir un "city booster" avec crèche et laboratoire d'analyse médicale… Retour sur les grandes évolutions de ce noeud urbain de la SNCF.
Galets, grilles, bancs anti-sieste… La carte du mobilier répulsif à Strasbourg
Les Strasbourgeois passent devant tous les jours sans les remarquer. Normal, c'est fait pour. Des installations conçues pour empêcher le repos, la sieste ou la flânerie fleurissent un peu partout. Souvent appelés "mobilier anti-SDF" par raccourci, ces aménagements visent en fait tous les usagers de la ville. Rue89 Strasbourg lance une carte collaborative pour recenser l'architecture et le mobilier hostiles.
Photo : Archive Ina
Quand Hautepierre était construit dans les années 1970, un quartier moderne à l’ouest de Strasbourg
Archives vivantes – Le quartier de Hautepierre se construit dans les années 1970 à l'époque où le développement de Strasbourg ne doit pas se faire "sur place", mais à l'extérieur. Ses grands ensembles construits sur les champs à l'ouest de la ville sont considérés comme modernes et permettant de loger une population modeste au milieu de rues à sens unique et sans feu tricolores pour circuler facilement en voiture. Souvenirs.
Photo : remise
À 18h, Dimitri Konstantinidis est l’invité de l’apéro
Entre jardins, hôtel, logements, sport et arts le projet "Vivacité" vise à reconfigurer l'entrée de la Robertsau. Confier la conception de la ville à des artistes, une bonne idée ? Venez poser vos questions à Dimitri Konstantinidis, directeur de l'association Apollonia qui porte le projet. Il est le deuxième "invité de l’apéro" de Rue89 Strasbourg, jeudi 28 juin à 18h au Graffalgar.
Photo : Thibault Vetter
Aux Deux-Rives, la plus haute tour en bois de France à 3 500 euros le mètre-carré
Le chantier de la plus haute tour en bois de France est en cours à Strasbourg, dans le quartier des Deux-Rives. Bouygues Immobilier, le promoteur de ce projet, annonce que la tour "Sensation" sera livrée début 2019. La majorité des appartements, 80%, sont déjà vendus pour environ 3 500 euros le mètre-carré.
Photo : Chung Yi-Chang / Wikimedia Commons / cc
Photo : capture d'écran INA
Quand dans les années 1970, la piétonnisation du centre faisait déjà débat
Archives vivantes – Le centre-ville, paradis de l'automobile ? Les premières piétonnisations face à la Cathédrale dans les années 1970 ont à l'époque déjà soulevé leur lot de débats. Pour l'urbaniste Alfred Peter, le "retour de la marche" dans le centre à Strasbourg coïncide justement avec "l'apogée de la voiture", un concept bien vivant dans d'autres pays.
Photo : Pascal Bastien
On connait les prix pour habiter dans la tour à « énergies positives » Elithis
Le gros œuvre de la tour Élithis dans le quartier du Danube est terminé. Dans cette tour de logements qui produit plus d'énergie qu'elle n'en consomme, une première mondiale, les factures devraient avoisiner 80 euros par an. Les premiers habitants sont attendus en janvier.
Photo : JFG / Rue89 Strasbourg